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Dictature du relativisme : un hindou à la tête d’une institution catholique

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Rompre avec la rupture
Commentaires (4)
  1. soha dit :

    ce n’est pas du relativisme, c’est de l’oecuménisme élargi…”Assise” est là, ou son esprit, qui comme tous les esprits de ce genre, a encore frappé….Pourquoi se cacher derrière des mots “corrects”???

    Allez visiter le “Palais Idéal du Facteur Cheval” à Hauteterives, à côté de chez MArthe RObin (Chateauneuf de Galaure) , vous verrez là “Assise 0″, toutes les religions sculptées et représentées…

    D’ailleurs le” Palais” est publicité à 30 km à la ronde …
    quant à la ferme de Marthe, il faut chercher pour y accéder( enfin, le “Foyer de Charité” sait encore l’indiquer ..malgré ses tendances ” relativistes” pour le moins…..

    Prions…

    1. Americatho dit :

      Le relativisme est un concept très clair. L’“œcuménisme élargi” plus flou. Je maintiens donc la concept de “relativisme”.

  2. Yves dit :

    Intéressante référence au facteur Cheval.
    On parle ici d’une réalisation du début du XXème siècle, bien avant Assise, Jean-Paul II, et Vatican II, ces derniers n’étant donc probablement pas à l’origine de tous nos maux…

  3. Miville dit :

    Je suis d’accord avec le multi-culturalisme et le multi-confessionalisme pourvu que chaque culture et chaque confession soit mise de l’avant là où ses qualités propres ne font aucun doute, et pas dans un autre emploi. Chacun son métier et les vaches seront bien gardées. On a bien exhumé la poésie païenne latine pour en faire les grands classiques de notre langue, sans aucun préjudice pour la foi catholique. C’est parce qu’on a cantonné le paganisme dans l’expression littéraire, selon le voeu de Boileau, et qu’on a enlevé l’expression du dogme aux poètes pour la donner toute entière au clergé, qu’il en a résulté un des plus beaux fleurons de la culture chrétienne. De la même manière il faut reconnaître à l’hindouisme une grande supériorité dans certaines pratiques comme la méditation et dans certaines valeurs sociales, comme le végétarisme et le naturisme, ainsi que dans beaucoup d’arts d’agréments, sans pour autant en faire une foi de rechange, ce qu’il n’est pas. L’Islam est plus une doctrine politique totalitaire qu’une religion, c’est au communisme et au fascisme qu’il faut le comparer, c’est dans les mêmes arènes que ces deux autres monstres qu’il faut le faire jouer, et pas ailleurs. De la même manière le bouddhisme est une méthode d’examen de soi et de travail sur soi qui vaut bien mieux que la psychanalyse, mais pas du tout quelque chose qui puisse remplacer la foi. Toutes les religions peuvent sauver, en définitive, mais pas du tout par les mêmes choses chacune. Seul le christianisme sauve par la foi et l’adhésion à un dogme. L’hindouisme ne sauve que par l’adhésion à un dharma, à un travail bien fait dans le cadre d’une certaine conception de l’ordre social, pas du tout par ses croyances qui sont de l’ordre des contes de Perrault. Le vaudou peut sauver aussi, mais uniquement par la patience à endurer les épreuves que l’esprit tutélaire ou l’ange gardien inflige à l’aspirant, pas du tout par la pratique rituelle qui sans être méchante est quand même parfois trop sensuelle ou carnavalesque. Le judaïsme peut sauver aussi, mais pas du tout en tant que pratique de foi, seulement en tant que tradition de dire non à absolument tout culte idolâtre, y compris le sien propre, ce généralement dans le cadre d’une recherche inlassable de connaissance. Le mal du multi-culturalisme ne commence que quand on mélange les compétences, quand par exemple on fait de l’enseignement talmudique un équivalent moral du christianisme, ou vice-versa quand la manière de vivre de telle société chrétienne s’impose comme un absolu moral.