Enseignement catholique

Joe Biden à Georgetown : c’est pire que ce qu’on savait

Commentaires (4)
  1. Kevin dit :

    Bien sur, Georgetown veut “dialoguer” avec le Vice-President, malgre son soutien de l’avortement. En revanche, je ne crois pas qu’on veuille dialoguer s’il etait contre l’avortement mais pro-violence contre les femmes adultes.

  2. Kevin,
    je mesure et j’apprécie votre effort de vous exprimer en français sur ce blogue, mais, langues française ou anglaise mises à part, il y a une chose qui est commune aux catholiques francophones ou anglophones c’est le bon sens ou le common sense si vous préférez. Votre remarque en manque. Dans l’événement que j’évoque, le « dialogue » n’intervient en rien. Il s’agit d’un honneur rendu et d’une récompense accordée à un politicien (catholique) adepte de la culture de mort par une université catholique. C’est une abomination. Voila ce que dit l’Église et ce qu’enseignent les évêques américains dans Catholics in the Political Life.

  3. Kevin dit :

    Je ne suis pas sûr, mais je semble être mal compris. Qu’est-ce que je dis, c’est que je soupçonne que Georgetown, si on leur demande pourquoi ils ont donné un prix à Biden, donneraient une excuse à peu près semblable à celui donné par Notre Dame: qu’il est mieux de dialoguer avec ces hommes politiques que de les ignorer. Je crois que c’est la façon dont Notre-Dame a marqué de leur décision de presenter un prix à Obama.

    Mon point est que je crois que cela masque le fait que les deux institutions ne semblent pas se soucier de l’avortement comme une question morale, parce que je ne peux pas imaginer que Georgetown aurait acceuilli Biden, s’il avait été en faveur d’une politique différente, tels que la ségrégation des noirs, ou l’autre exemple que j’ai donné.

  4. Castille dit :

    …… Il n’y a aucune excuse à la violence faite à une femme ou à un enfant. Aucune excuse ………

     

    Comment fait-on lorsque ce sont les femmes qui sont violentes envers enfant et mari. Je compte parmi les ceux que je connais une jeune femme, excellente journaliste, d’excellente éducation, mais sans doute pas assez maitresse d’elle-même pour éviter de lever la main sur son déjà chétif mari lorsqu’elle est en colère. C’est souvent le cas, car elle est ombrageuse et colérique.

     

    Les femmes sont aujourd’hui elles autrement violentes avec leur enfant. Absence totale de gestes signifiants l’affection maternelle, de peur d’être ridiculisée par la société. Interdiction de parler de façon attendrie de son enfant, sous peine de moquerie. Rapport conflictuel ficelé dans un mauvais “Il ne faut pas se laisser faire”….(par un bébé de 8 mois). Des petites choses de trois ans, à qui l’on ne tient même plus la main, de crainte de paraître maternelles, voila bien une violence que certains écarteront d’un revers de main. L’absence d’amour maternelle fait le lit de toutes sortes de déviances, c’est bien connu


    Il y a une forme d’inversion dans ce féminisme tel que nous en voyons le visage de nos jours. On ne s’en étonnera pas dès lors qu’on se rappelle  qu’une de leurs références favorites est Lilith.