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Mgr Le Saux au Cameroun

Commentaires (3)
  1. Bisson dit :

    Quelle leçon d’abnégation encouragée par la foi.
    Je vais prier pour eux avant de m’endormir.

  2. Chomard dit :

    Si l’écrit est bien celui de Mgr Le Saux, son niveau rédactionnel est semblable à une rédaction d’une élève de 4ème et encore…
    Quant au témoignage, un responsable d’ONG aurait fait mieux. C’est de la bouillie pour chat conciliaire …

  3. Augustin dit :

    C’est certes bien d’admirer le courage des chrétiens du Cameroun. Mais on aimerait que Mgr Le Saux admire aussi le courage des chrétiens qui en France défendent le bien commun et les enfants en s’engageant dans le combat contre les lois sociétales indignes et cela en prenant des risques et en subissant des coups. Voir en particulier le courage des trois jeunes : Bernard Bus qui a subi la prison, Anna qui a résisté aux tentations et aux pressions policières, et aujourd’hui le jeune lyonnais condamné à six mois de prison.
    La sollicitude en elle-même fort justifiée envers les chrétiens qui sont au loin fait ressentir d’autant plus, par contraste, le silence de nos pasteurs vis-à-vis de ce qui se passe à leur porte.
    Et nous, les fidèles, faisons-nous tout ce qu’il faut pour interpeller nos évêques ? Nous avons besoin d’eux, de leur soutien et de leurs encouragements. Les enfants sans défense ont besoin de leur protection. Non à la privation de père ou de mère, non à l’ABCD de l’égalité qui n’est que paravent à la théorie du genre.
    A ce propos du gender, d’ailleurs, le texte de février 2014 du Secrétaire général de l’enseignement catholique est pernicieux, car tout en affichant une opposition de façade à la théorie du genre, il ignore que dans la pratique, comme en témoignent différents scandales ayant éclaté dans les semaines passées, de nombreuses actions sont conduites dans les établissements scolaires y compris catholiques, qui relèvent bel et bien de cette théorie. Qui plus est, il invite à faire confiance aux directions et aux équipes éducatives alors que celles-ci sont placées en dépendance du ministre de l’Education nationale et de ses orientations idéologiques auxquelles le Secrétaire général ne se montre guère enclin à résister. Mais la confiance n’est pas une valeur en soi, si elle est mal placée, c’est une catastrophe !
    Nous comptons sur les autorités ecclésiales pour reconnaître l’honneur et soutenir le courage de ceux qui combattent pacifiquement pour la défense du bien commun et des générations futures ainsi que pour exprimer leur compassion à l’égard de ceux qui tombent sous les coups de la violence et de l’injustice.