Perepiscopus

Soutien de Mgr Aillet pour SOS Chrétiens d’Orient

Commentaires (2)
  1. avedikian joseph dit :

    Merci Monseigneur d’ être présent à nos frères d’ Orient qui n’ hésitenrt pas à donner leur vie an nom de leur foi en Jésus. Quel exemple poiur :” ceux qui veulent voir “; Nous sommes si souvent prisonniers de nos égoïsmes qu’ ils nous rendent aveugles. Puissions- nous nous convertir et vivre de que Jésus nous demande : ” suivre Jésus en donnant notre vie;” à nous c’ est impossible ,mais avec la grâce de Dieu c’ est possible ;nous venons de vivre l’ Evangile de l’ Anonciation : Jésus est le Maître de l’ Impossible .
    Soyez béni Monseigneur nous vous aimons
    Joseph

  2. THEOBALD François dit :

    Il est bon que les évêques encouragent les associations nouvelles qui se créent pour porter secours aux chrétiens dans le monde ainsi qu’à tous ceux qui sont persécutés. Le donateur, qui découvre dans sa boîte à lettres ou sur internet une nouvelle publicité pour ces associations caritatives ou culturelles ou à but d’évangélisation ou à but médical, est toujours un peu perplexe devant les nouveautés. La fibre humanitaire est sollicitée en maintes occasions (“charity business”) par des associations dont les dépenses de fonctionnement peuvent être considérables. Le donateur a besoin de savoir pour quoi il donne, qui distribue les fonds et qui reçoit. Et finalement si les dons reçus ne sont pas détournés de leurs objectifs. Evidemment il faut faire un peu confiance à la Providence ! D’où l’importance d’une déclaration comme celle de Mgr Aillet. Un suivi de ces associations devrait permettre de s’assurer (1) que les frais de fonctionnement restent dans des proportions raisonnables (2) que les fonds versés sont bien utilisés par les bénéficiaires et ne sont pas détournés de leurs objectifs. Tâche difficile ! La collecte des informations sur ces points devrait pouvoir se faire si les évêques recoupaient leurs informations sur ces questions avec des celles provenant d’autres sources religieuses sûres par exemple situées dans les pays concernés ou au Vatican. Trop peu d’évêques français osent des prises de position qui soient de véritables encouragements à donner à ces nouvelles associations, sans oublier de donner à de plus anciennes associations qui ont fait leurs preuves. Un véritable bureau de centralisation du retour de l’information serait utile. Cette rétroaction sans tomber dans les automatismes (la charité n’attend pas de retour) permettrait de donner avec plus de générosité encore.
    FT