Brèves

Vive le Missel… de Saint-Jean XXIII !

Commentaires (6)
  1. Lamblin dit :

    Bravo ! Je n’y pensais pas et pourtant, c’est la stricte vérité ! Si on avait continué de pratiquer ce rite, nos églises ne seraient pas vides aujourd’hui.

    1. Jean-Marie Vaas dit :

      On peut effectivement le penser: la forme extraordinaire bénéficie d’un rayonnement auprès de personnes très différentes. En soi, ellene peut attirer tous les catholiques, mais elle ne saurait laisser insensible un grand nombre d’entre-eux.

  2. Patrick de La Rode dit :

    voilà qui est amusant ! qu’on nous laisse la sainte Messe !!!!

  3. Patrick de La Rode dit :

    n’oublions pas que la hainde de la messe tridentine fut une spécifcité de l”églis de france !

  4. Thierry dit :

    Je vais régulièrement (mais non tous les dimanches) assister à la messe selon le rite extraordinaire qui n’est pas célébrée dans la paroisse dont je relève. La spiritualité qui s’en dégage, les gestes dévotionnels, les chants grégoriens et, pour tout dire, le rite qui est en lui-même un véritable exercice de piété et de dévotion, répondent mieux à mes aspitations.
    Ceci étant dit, il faut tout faire pour apaiser les esprits et ne pas raviver la “guerre liturgique”. Ne manifestons aucune agressivité, aucune critique acerbe, c’est totalement contraire à l’enseignement des Evangiles et de la morale chrétienne !
    La messe selon le rit ordinaire, selon le Missel romain de Paul VI, célébrée en LATIN en respectant toutes les rubriques liturgiques (qui sont normatives, il faut le rappeler !), comme il se doit (ou comme il se devrait), ainsi qu’on le célèbre avec grandeur à la basilique Saint-Pierre de Rome, est certainement tout aussi digne, respectable et sacré.
    C’est “l’adaptation”, pour ne pas dire la déformation de ce rite par l’Eglise de France (usage exclusif du français, rejet du splendide art musical chrétien etc.) qui a jeté l’opprobre sur ce que l’on a appelé la “nouvelle messe”. Il y a eu quantité d’abus, d’inventions fantaisistes que tout le monde connaît et qui s’écartaient manifestement des consignes vaticanes et tout simplement de la “lex orandi, lex credendi”. Espérons que ces temps sont révolus et que lentement, avec les nouvelles générations de prêtres (si restreints soient-ils) et sous l’influence du rit extraordinaire et de ses promoteurs, les moeurs et usages liturgiques progressivement changeront pour redevenir ce qu’elles nauraient jamais dû cesser d’être.

  5. Jean-Marc Vandernotte dit :

    Si la FSSPX avait eu l intelligence de célébrer le novus ordo comme à saint pierre de Rome et en latin…. Le cours de l histoire aurait été différent et on ne parlerait plus du missel de 62 qui n à rien de traditionnel avec sa semaine sainte moderniste.