En Une

Le gouvernement Rajoy renonce à modifier la loi sur l’avortement (presse espagnole)

Commentaires (6)
  1. Patrick de La Rode dit :

    touours des reniements ! l’Espagne est, elle aussi dans la bassesse !
    envie de vomir !

  2. Fleur dit :

    La vie des bébés à naître contre leurs mandats ! Opter pour perpétrer leur massacre pour sauver leurs mandats électoraux ! Quelle bande de vendus et de corrompus ces politiques ! Ils ne les emporteront pas au Paradis, leurs mandats électoraux… s’ils y vont !
    J’implore la Miséricorde de Dieu, certes, mais aussi sa Justice !

  3. toto dit :

    Ya os habia dicho que Rajoy se iba a rajar!
    Democracia cristiana hijos del demonio

  4. Nostradamus dit :

    Bien peu de politiciens sont dignes de confiance et respectent leurs engagements électoraux. Seul compte pour beaucoup leur seule réélection et les avantages matériels qu’ils peuvent immédiatement tirer de leurs fonctions.
    Les politiciens honnêtes et visionnaires sont vraiment l’exception.
    La plupart des médecins avorteurs sont vénaux et cherchent seulement la rentabilité au mépris de ceux qui s’adressent à eux et sont prêts à tous les contrats sur la tête des autres. 
    Aussi je pense que la meilleure façon de lutter contre des pratiques criminelles est bien l’information de ceux qui peuvent y recourir, et l’appel à leur conscience. 
    Je vous remercie, chère Jeanne Smits, de participer, oh combien activement à cette prise de conscience.

  5. Courivaud dit :

    Je ne sais pas si “l’Espagne est elle aussi dans la bassesse” ; c’est aux Espagnols de le dire et on devrait se garder de porter un jugement aussi hâtif sur ce pays en pleine souffrance !
    Ce qui est sûr, et Mme Smits l’avait déjà pressenti dans ses articles précédents, le gouvernement de M. Rajoy n’avait aucune volonté politique précise pour faire cette réforme. En outre, il aurait dû “s’activer” davantage auprès du Conseil de l’Europe pour espérer un retournement de tendance favorable à cette réforme.

    Manque de volonté politique, c’est sûr, mais on peut aussi se demander si, dans l’état actuel de la construction européenne (ou plutôt de sa déconstruction pour parler comme….), il existe encore un gouvernement à Madrid, mais aussi à Rome, à Lisbonne, à Paris, etc. pour se lancer dans une politique publique de la famille digne de ce nom.

  6. Françoise dit :

    Il est à noter qu’Amnesty International avait lancé une pétition en ligne massive et virulente contre le projet de modification de la loi espagnole sur l’avortement, un “retour en arrière dangereux et une atteinte aux droits des filles et des femmes”, adressée au gouvernement espagnol, qui a dû être impressionné par le nombre de signatures …