Non classifié(e)

Une bonne initiative: le glas de Notre-Dame de Paris sonnera pour tous les prêtres parisiens décédés

Commentaires (21)
  1. toto dit :

    Je comprends maintenant pourquoi le glas ne sonne jamais pour les bébés avortés, ils n’ont pas vécu une année!!! Et on les a jetés à la poubelle ou au four crématoire ou ont été récupérés par des labos

    1. Crespin-Jeaugeart dit :

      Quelle horreur, ce commentaire !

      Mettre sur le même plan la Shoah et l’IVG…

      Cela me soulève le cœur.

      1. En effet, l’IVG est plus grave.

      2. Shimon dit :

        @ Crespin-Jeaugeart

        Avez-vous jamais travaillé dans un hôpital? Tout ce qui est chair humaine est bel et bien incinéré dans un four crématoire.
        C’est vous qui faites l’association crémation et shoah. Ceci étant dit, il est évident que rien que en France plus de jeunes vies innocentes ont été détruites (et leurs corps brûlés) qu’il n’y en a eu pendant la deuxième guerre mondiale.
        Par ailleurs je suis fatigué de la récupération hébraïque des victimes de la guerre. Les tziganes, les roms, les débiles mentaux, les homosexuels et les francs-maçons ont été tout autant persécutés et ignominieusement mis à mort.

  2. Françoise dit :

    Parmi ces bébés avortés, il y avait peut-être de futurs prêtres potentiels pour lesquels le glas ne sonnera jamais.

    1. Crespin-Jeaugeart dit :

      Et combien de non prêtres ?

      Ce n’est pas un argument.

      Connaissez-vous ces femmes qui doivent en arriver là ? J’en suis, pour ma part. Croyez-vous que l’on en arrive là de gaité de cœur ? Combien ont été violées, abusées par un compagnon, dans l’impossibilité de l’élever ?

      Il n’y a aucune charité chrétienne dans ce commentaire. Vous êtes, visiblement, très loin du Christ – ou de l’idée que vous vous en faites.

      1. Maurice dit :

        exact, c’est le geste qui doit être condamné, pas la femme qui le demande.
        Avant de condamner, il faudrait se renseigner sur les conditions qui ont amené une femme à en arriver là.

        Ne pas approuver est une chose, mais essayer de comprendre le pourquoi est nécessaire, et puis, n’est-ce pas à chacun de choisir comment il désire vivre ?

      2. toto dit :

        C’est un argument. Les génocides n’ont aucune excuse. Même si la mère qui accepte d’avorter est dans la plupart des cas une victime.
        Je fais partie d’une association qui ne se contente pas de dénoncer le génocide des bébés à naître, mais qui aide les jeunes futures mamans à sortir du cercle infernal que tissent autour d’elles le Planning, les médecins, les compagnons, les proches. Et celles qui nous ont écoutés et accepté notre aide nous remercient maintenant, les larmes (de bonheur) aux yeux Et nous assistons à un acharnement criminel à les persuader qu’avorter est un droit. Quel abominable mensonge!
        Relisez la loi Veil: où sont les centres d’accueil promis pours futures mères en difficulté? RIEN! ZERO! Seules des associations catholiques ont fait quelque chose avec des moyens misérables.
        Je vous plains et vous exorte à demander pardon à Dieu et à votre bébé au lieu de vous offusquer de voir des commentaires appeler un chat un chat. Le Christ vous dit: “va et ne péche plus”
        Et vous lisez mal, les fours crématoires des hôpitaux sont une réalité. Nulle allusion à la “Shoah”
        Et merci à Philippe Aucazou de préciser que l’IVG, c’est pire, oui, mille fois pire.

      3. Françoise dit :

        @ Crespin-Jeaugeart : l’article précise que le glas de Notre-Dame de Paris sonnera pour tous ses PRÊTRES décédés (et pas les “simples” fidèles chrétiens), un coup par année de vie et je voulais achever l’avis de Toto qui parlait de ceux pour qui le glas ne sonnera pas puisqu’ils n’ont même pas vécu une année. J’ai moi aussi beaucoup de compassion pour les malheureuses qui en arrivent à une extrémité aussi horrible que l’avortement et je pense que votre commentaire relève d’un malentendu.

  3. ALBERT-BRUNET David dit :

    Sonner le glas de Notre-Dame de Paris n’a vraiment plus aucun sens depuis qu’on voit qu’il a été sonné pour les anticléricaux journalistes de Charlie Hebdo…

    1. Crespin-Jeaugeart dit :

      Le Christ vient pour les “cléricaux” comme pour les “anticléricaux” (le pape François, du reste, se déclare anticlérical) : il est le Sauveur de tous. François pourra-t-il recevoir des obsèques religieuses ? Visiblement, d’après vous, non.

      Mettre tout sur le même plan, sans nuance, cela ne fait pas une opinion. Le mal du siècle : l’inculture, le repli sur soi-même…

      1. remy dit :

        Commentaires inutilement agressifs.
        Parmi ceux que vous critiquez, ou accusez de manquer de charité, beaucoup se dévouent et se démènent corps et âmes pour le bien commun, dans la discrétion, en particulier pour sauver quelques bébés menacés d’avortement en aidant les mères en détresse (la plupart du temps non chrétiennes et souvent étrangères dans la France d’aujourd’hui …).
        Evitez de juger sur un simple commentaire qui relève plus d’une humeur spontanée.
        D’accord avec vous pour dire que les femmes sont les secondes victimes, et que la faute en incombe très souvent aux hommes. Votre témoignage peut servir à sauver des bébés et leurs mères.

        A propos des IVG, le chiffre reconnu (y compris par l’ONU), est de plus d’un milliard de bébés avortés depuis les années 1970.
        C’est le plus grand massacre d’innocents ayant jamais existé sur terre.

    2. Adriaensen michel dit :

      SI,cela a toujours un sens;et puis en faisant sonner le glas pour les journalistes de Charlie,ne faut-il pas prendre cela comme un grand pied de nez de l’Eglise vis-à-vis de personnes qui n’ont jamais arreter de cracher sur le christianisme !!

  4. garmon dit :

    Les croyants sont habituellement à la recherche, tentent de se rapprocher de l’idée qu’ils se font de la foi. Sonvent, ceux qui ne croient pas comme moi sont éloignés de l’idée que je me fais de la foi. Qui a dit “on croit penser mais on se fi que des idées”.

    Les femmes qui avortent le font rarement de gaieté de cœur, les féministes le disent toutes. Que faisons-nous pour être à côté de ces femmes-là à ce moment-là et leur permettre un autre choix ?

    Dieu vous garde

    Garmon

    1. Shimon dit :

      Comment donc dans un article sur le glas sonné pour les prêtres en est-on venu à parler d’avortement?
      @ Garmon
      Une femme qui avorte ne le fait jamais, jamais de gaîté de cœur. Elle sait qu’elle portera une culpabilité, un regret, toute sa vie même si tout son entourage la félicite.
      Une femme qui avorte le fait presque toujours sous la pression, du père de son enfant, de ses propres parents, de son patron, de ses amies, de son médecin ou simplement des conditions matérielles où elle est. C’est toujours le manque d’amour et de soutien qui pousse à la cruelle décision.
      Aussi, pour ma part je ne condamnerai jamais une femme qui a avorté; c’est de soutien dont elle a besoin. Qu’elle reçoive au moins après, ce qu’elle n’ a pas reçu avant.

  5. Maurice dit :

    Pourquoi — les prêtres parisiens — et pas de l’Île-de-France ? (sonner le glas)
    Le faire pour tous les prêtres ne serait-il pas à envisager dans les diocèses où ils officiaient ?

    1. John-Paul dit :

      face à l’étouffement délibéré de la religion, de toute religion, par des athéistes qui érigent leur non croyance en obligation, leur non dogme en dogme, je crois qu’il urgent que se manifeste dans l’espace public la foi en un Dieu d’amour transcendant.
      Oui, sonner le glas pour chaque prêtre, oui sonner le glas pour les enfants tués in utero, mais aussi sonner le glas pour chaque paroissien qui trépasse.

      oui aussi au retour des processions en chantant et en priant.

      Oui à la liberté de ne pas avorter, oui à l’assistance des futures mères, oui au soutient matériel des familles.
      Et aussi oui à la liberté de conscience des médecins et du personnel de soin, oui à leur droit de dire “je refuse” sans être pénalisés.
      Défendre la vie n’est pas un droit, c’est un devoir.

      1. Maurice dit :

        Le retour aux processions ?
        De ce que je constate, il y en a toujours là ou je vais aux offices ; il est vrai que ce ne sont pas des offices néo-protestants V2 avec tambourin et guitares !

  6. Emmanuel dit :

    Le commentaire de Toto est exacte….
    Dimanche dernier lors de la marche pour la vie nous avons rappelé ce chiffre effrayant de sept millions d’enfants avortés comme de vulgaires morceaux de viande….
    Serait-ce nécessaire de rappeler à Crespin-Jeaugeart qui à promu l’avortement ( de masse) en France?
    Qui la médicalisé au sein d’un camp de concentration nazi tristement célèbre?
    Et enfin, cerise sur le gâteau du meurtre de nourrisson à gogo, qui de nos Episcopes parisiens aura le geste ne serait-ce qu’une fois l’an de sonner le glas pour tous ces enfants tué dans le sein de leur mère?
    Il y a vingt ans, à la sortie d’un tribunal dans lequel comparaissait une jeune fille ayant oser prier devant un avortoir pendant l’acte d’infanticide; un prêtre ( oui un prêtre ) s’avança et la gifla……..
    Aucun commentaire…
    Au diable les hypocrites!!!

    1. John-Paul dit :

      Personnellement je considère qu’un nouvel être humain existe dès la fusion de la membrane du spermatozoïde avec la membrane de l’ovule et pénétration du spermatozoïde dans l’ovule, c’est-à-dire dès la fécondation, dès la (re)constitution d’un génome complet, diploïde, viable. A partir de ce moment, à partir de la fusion membranaire spermatozoïde/ovule, se met en route un contrôle « interne » « autonome » « indépendant » d’un développement structuré « irréversible ». Le développement de ce nouvel être n’est pas sous le contrôle de la mère qui l’héberge.
      Le nouvel être vivant a toutes ses caractéristiques propres, génétiques, épigénétiques et tissulaires, à nulle autre semblables. Il devient lui. A partir de ce moment, à partir de la pénétration de l’ovule par un unique spermatozoïde, qui réalise une nouvelle cellule diploïde, une nouvelle vie existe, différente, avec son dynamisme propre, vie qui n’appartient à personne. Une vie qui pendant quelques heures sera certes unicellulaire ; mais une bactérie n’est-elle pas vivante ? Le début de la vie n’est pas le résultat d’un consensus politique ou d’une réflexion philosophique, c’est un fait scientifique.
      Mais on peut discuter des « droits » à accorder à une vie humaine. Cela n’est pas une réalité scientifique. Les juifs ou les noirs ont-ils des droits, les esclaves ou les embryons ont-ils des droits ? Pour vendre des esclaves il a suffit de les déclarer non humains.

  7. gégé dit :

    Maria simma cette âme-victime (début XXe siècle) qui mena une vie très droite, restée à peu près inconnue jusqu’alors, fut en quelque sorte la continuatrice de Mechtilde Von Thaller (…1919). Ses écrits furent longtemps « occultés » malgré la garantie d’un contrôle ecclésiastique sérieux à l’époque. C’est à partir de ses visions et révélations qu’a été établi le « Calendrier perpétuel des Saints Anges », avec un résumé très bref de la fonction de chaque ange. Ces révélations n’ont pas encore la garantie absolue de l’Église. Il peut donc s’y glisser quelques erreurs, ne dépréciant en rien, cependant, la grande valeur de l’ensemble des révélations de G. Bitterlich.

    Maria simma mystique propose en réparation de l’acte d’avortement :
    “L’avortement est la plus grande guerre et la plus grande horreur de tous les temps. Cette société s’est dégradée au point de permettre à Satan de tuer des innocents par millions. La réparation en sera énorme.
    Une femme qui a avorté doit reconnaître que son avortement était un péché grave doit aller se confesser et demander à Jésus de lui pardonner. Pour retrouver la paix elle doit faire une pénitence d’une façon profonde et sincère. Elle doit donner un nom à l’enfant et lui demander pardon, le faire baptiser et faire dire une messe. Si tout cela est accompli d’un cœur humble et pénitent alors ce sera suffisant.
    L’état de l’Eglise est pire qu’il ne l’a jamais été depuis le commencement.”