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Référendum irlandais: “une défaite pour l’humanité” (cardinal Parolin)

Commentaires (5)
  1. Philippe Mangé dit :

    Et si l’Occident allait vers le mariage homosexuel obligatoire ? A la vitesse où le lobby LGBT avance, c’est parti pour ! Et ça créera des emploi grâce à la GPA obligatoire elle aussi.

  2. Denis dit :

    Les irlandais avaient approuvé à 62% le mariage homosexuel, est « une défaite pour l’humanité ». Que dire: les irlandais avaient approuvé à 62% le mariage homosexuel, est « une défaite sur l’enseignement (la nourriture spirituelle) RACHÉTIQUE».
    (Hébreux 5:12) […] En effet, alors que vous devriez être des enseignants, compte tenu du temps, vous avez de nouveau besoin que quelqu’un vous enseigne depuis le commencement les choses élémentaires des déclarations sacrées de Dieu ; et vous en êtes arrivés au point d’avoir besoin de lait, non de nourriture solide.

    Les choses élémentaires (.de livres à colorier..) de lait, non de nourriture solide.

    À qui la faute: les ouilles ne trouvent même pas le “Notre Père” dans la parole de Dieu après 50 ans d’enseignements. Imaginez que vous étudiez les mathématiques durant 50 ans, et qu’a la fin, vous ne connaissez que 1 + 1 = 2. Quelle qualité d’enseignement peut-on déduire de ce constat…? Il est donc NORMAL qu’ils dérivent en masse ( 62% ). Ça fait longtemps que la moralité a pris le bord du démoniaque …

    (2 Timothée 3:1, 2, 5) […] Mais sache ceci : que dans les derniers jours des temps critiques, difficiles à supporter, seront là. 2 Car les hommes seront amis d’eux-mêmes, […] amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, 5 ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance ; […]

  3. Pauvre pécheur que je suis dit :

    Triste constat…

  4. DUFIT THIERRY dit :

    Certes le Cardinal Parolin rappelle (pour une fois) les principes traditionnels de la morale Catholique mais malheureusement il faut faire quelques remarques.
    Depuis Vatican II et la liberté religieuse de Dignitatis Humanae le Vatican a tout fait pour laïciser les Etats Catholiques. Ce fut le cas en Irlande,en Espagne et en Colombie.Le Vatican demanda à ces Etats de cesser d’être officielement catholiques dans leurs constitutions au nom de la liberté de toutes les religions.
    Ne nous étonnons pas après cela de la laïcisation de ces sociétés qui tombent maintenant dans la plus totale dépravation avec les unions contre nature.
    De plus les propos très dangereux -qui suis-je pour juger- du pape François ont donné le sentiment à un certain nombre de catholiques que désormais l’Eglise ne condamnait plus les moeurs contre nature.
    Une fois de plus -comme en France pour l’avortement- on ne peut que constater que les homme d’Eglise “modernes” sont en grande partie responsables de la situation calamiteuse du Catholicisme.

    1. Jean-Marie Vaas dit :

      Lâcher les Etats catholiques ? Rappelons que l’Irlande (EIRE) fait débuter sa Constitution par une référence à la Sainte-Trinité: le cas irlandais n’est pas assimilable à celui de l’Espagne ou à d’autres Etats dits de vieille Chrétienté, voire de certains cantons suisses. Je n’ai pas le souvenir d’intervention du Saint-Siège auprès de l’Irlande. L’Irlande s’est laïcisée au cours d’un processus complexe: perméabilité à l’égard de tout l’univers anglo-saxon, scandales du clergé bien mis en valeur par les médias, bras de fer sur les questions “éthiques” depuis plusieurs décennies… Et l’Eglise n’a pas été en mesure de combattre, voire de déceler ce bombardement médiatique… Tout cela a laissé une Eglise, qui n’a pas su réagir, ni s’armer, face à une pression médiatico-mondaine. Faut-il rappeler, dans les années 1990, ces affaires d’avortement complaisamment relayées par les médias… On n’a pas cessé de dénoncer la dureté de la législation irlandaise. Pour être bref, il y a eu une sécularisation galopante, notamment depuis ces 25 dernières années, qui n’a pas été freinée par une Eglise impuissante ou incapable de contrer ce phénomène. Evidemment, la crise de l’Eglise est un facteur d’affaiblissement indéniable. Mais il faut noter que la sécularisation n’a pas débuté dans les années 60 ou 70, mais s’est faite un peu plus tardivement. Elle n’en a pas été moins impitoyable.