Divers Jeanne smits

Pays-Bas : règles assouplies pour l’euthanasie

Commentaires (2)
  1. admd34 dit :

    bonne amélioration, à mon avis:
    des médecins bien-pensants, sont opposés à la légalisation de l'euthanasie en France, justement pour cette raison: ils ont écrit leur désolation à l'idée qu'on pourrait alors laisser quelqu'un souffrir de l'agonie, parce qu'il n'avait pas écrit ses volontés(ou directives anticipées), et qu'en conscience de médecin, il leur paraissait normal de supprimer la souffrance,certes en hâtant la mort…pas d'autre moyen…
    mauvaise raison, puisque la loi française permet la sédation terminale, pour éviter les souffrances de l'agonie, sans que le médecin ne puisse être accusé de meurtre, à juste titre.
    Mais notre loi est floue sur la durée de cette sédation, ses moyens, et certains ont peur d'accusation au cas où la sédation agirait trop vite… où la morphine serait inopérante…là, l'euthanasie prend le relais, car pourquoi prolonger des comas qui ne mènent qu'à la mort?

  2. Anonymous dit :

    En France c'est beaucoup moins litigieux que tout cela. Dès que le patient n'est plus en mesure de s'y opposer verbalement – et même s'il s'y est opposé par écrit dans ses directives anticipées -, qu'il souffre ou qu'il ne souffre pas, le médecin décide souverainement si les soins relèvent d'une obstination déraisonnable. Et s'il en décide ainsi, il peut tout arrêter.(art. L1110-5 du Code de la Santé publique)