Perepiscopus

“Reconnaître en l’autre un croyant autrement et fidèle à l’Evangile”

Commentaires (11)
  1. Denis Merlin dit :

    Comment faire lorsque je vois dans le Saint-Sacrement Jésus avec son corps né de la Vierge Marie, son sang et sa divinité et qu’un autre vient nier ma liberté religieuse en voyant en moi un idolâtre ? Quel dialogue ?

    Luther voyait dans une seule messe catholique, disait le Père Noël Barbara, des péchés plus graves que tout les péchés qui pouvait se commettre dans des lieux que la décence interdit de nommer ? Le Père ajoutait que c’était logique car adorer une seule fois du pain et du vin était plus grave que d’innombrables péchés d’impureté.

    Quel dialogue ?

    Le seul dialogue possible est fondé sur la raison universelle de l’homme. Nous pouvons demander à nos frères séparés de considérer que les adorateurs de pain, n’en sont pas. Car s’ils faisaient cela, ils seraient fous et dépravés à un point qui interdirait tout dialogue avec eux.

    Quant à relativiser notre croyance comme le demande Mgr Bouilleraie, en foulant aux pieds notre propre liberté religieuse et l’image de Dieu en nous, nous ne le pouvons pas. Au nom de notre liberté religieuse. Nous ne pouvons pas fouler en nous notre propre dignité qui nous rend libre de croire, croyance raisonnable, en Jésus-Christ et de croire Jésus-Christ. Croire en Jésus-Christ et croire Jésus-Christ:

    « Ave verum corpus natum de Maria Virgine
    Vere passum, immolatum in cruce pro homine,
    Cuius latus perforatum fluxit aqua et sanguine,
    Esto nobis praegustatum in mortis examine.
    O Iesu dulcis, O Iesu pie, O Iesu, fili Mariae. »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ave_verum_corpus

    Je crois en la présence réelle de Jésus, Fils de Marie, dans le tabernacle. C’est ma liberté. N’en déplaise au P. Cantalamessa, qui, sur le plan de la croyance, est mon égal. Il ne doit donc pas tenter de m’imposer sa croyance sous couvert d’autorité ou de progrès.

    http://www.cantalamessa.org/?p=2320&lang=fr

    Que nos prêtres commencent pas respecter la liberté religieuse des fidèles catholiques. Nous pourrons ensuite parler de “dialogue” !

  2. Denis Merlin dit :

    Comment faire lorsque je vois dans le Saint-Sacrement Jésus avec son corps né de la Vierge Marie, son sang et sa divinité et qu’un autre vient nier ma liberté religieuse en voyant en moi un idolâtre ? Quel dialogue ?

    Luther voyait dans une seule messe catholique, disait le Père Noël Barbara, des péchés plus graves que tout les péchés qui pouvait se commettre dans des lieux que la décence interdit de nommer ? Le Père ajoutait que c’était logique car adorer une seule fois du pain et du vin était plus grave que d’innombrables péchés d’impureté.

    Quel dialogue ?

    Le seul dialogue possible est fondé sur la raison universelle de l’homme. Nous pouvons demander à nos frères séparés de considérer que les adorateurs de pain, n’en sont pas. Car s’ils faisaient cela, ils seraient fous et dépravés à un point qui interdirait tout dialogue avec eux.

    Quant à relativiser notre croyance comme le demande Mgr Bouilleraie, en foulant aux pieds notre propre liberté religieuse et l’image de Dieu en nous, nous ne le pouvons pas. Au nom de notre liberté religieuse. Nous ne pouvons pas fouler en nous notre propre dignité qui nous rend libre de croire, croyance raisonnable, en Jésus-Christ et de croire Jésus-Christ. Croire en Jésus-Christ et croire Jésus-Christ:

    « Ave verum corpus natum de Maria Virgine
    Vere passum, immolatum in cruce pro homine,
    Cuius latus perforatum fluxit aqua et sanguine,
    Esto nobis praegustatum in mortis examine.
    O Iesu dulcis, O Iesu pie, O Iesu, fili Mariae. »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ave_verum_corpus

    Je crois en la présence réelle de Jésus, Fils de Marie, dans le tabernacle. C’est ma liberté. N’en déplaise au P. Cantalamessa, qui, sur le plan de la croyance, est mon égal. Il ne doit donc pas tenter de m’imposer sa croyance sous couvert d’autorité ou de progrès.

    http://www.cantalamessa.org/?p=2320&lang=fr

    Que nos prêtres commencent par respecter la liberté religieuse des fidèles catholiques. Nous pourrons ensuite parler de « dialogue » !

  3. Denis Merlin dit :

    Comment faire lorsque je vois dans le Saint-Sacrement Jésus avec son corps né de la Vierge Marie, son sang et sa divinité et qu’un autre voit en moi un idolâtre ? Quel dialogue ?

    Luther voyait dans une seule messe catholique, disait le Père Noël Barbara, des péchés plus graves que tout les péchés qui pouvaient se commettre dans des lieux que la décence interdit de nommer depuis le commencement du monde ? Le Père ajoutait que c’était logique car adorer une seule fois du pain et du vin était plus grave que d’innombrables péchés d’impureté.

    Quel dialogue ?

    Le seul dialogue possible est fondé sur la raison universelle de l’homme. Nous pouvons demander à nos frères séparés de considérer que les adorateurs de pain, n’en sont pas. Car s’ils faisaient cela, ils seraient fous et dépravés à un point qui interdirait tout dialogue avec eux. Ce que manifestement les catholiques ne sont pas.

    Quant à relativiser notre croyance comme le demande Mgr Bouillerie, en foulant aux pieds notre propre liberté religieuse et l’image de Dieu en nous, nous ne le pouvons pas. Au nom de notre liberté religieuse. Nous ne pouvons pas fouler en nous notre propre dignité qui nous rend libre de croire, croyance raisonnable, en Jésus-Christ et de croire Jésus-Christ. Croire en Jésus-Christ et croire Jésus-Christ:

    « Ave verum corpus natum de Maria Virgine
    Vere passum, immolatum in cruce pro homine,
    Cuius latus perforatum fluxit aqua et sanguine,
    Esto nobis praegustatum in mortis examine.
    O Iesu dulcis, O Iesu pie, O Iesu, fili Mariae. »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ave_verum_corpus

    Je vous salue, vrai corps né de la Vierge Marie,
    Qui avez vraiment souffert et avez été immolé sur la croix pour l’homme,
    Vous dont le côté transpercé a laissé couler du sang et de l’eau.
    Soyez pour nous un gage de salut lors du jugement particulier à l’heure de notre mort
    O doux, O bon, O Jésus fils de Marie. Ainsi soit-il.

    (Traduction libre du quatrième vers, le reste traduction de wikipedia).

    Je crois en la présence réelle de Jésus, Fils de Marie, dans le tabernacle. C’est ma liberté. N’en déplaise au P. Cantalamessa, qui, sur le plan de la croyance, est mon égal. Il ne doit donc pas tenter, abusant de son prestige, de m’imposer sa croyance sous couvert d’autorité ou de progrès.

    http://www.cantalamessa.org/?p=2320&lang=fr

    Que nos prêtres commencent pas respecter la liberté religieuse des fidèles catholiques. Nous pourrons ensuite parler de « dialogue » avec nos frères protestants et juifs !

  4. Sami dit :

    Avant de venir parler, il faut vous raser.

    1. gagarine dit :

      et vous habiller en ecclésiastique

  5. La formule finale mise ici en exergue a toutes les apparences de la charité., sauf qu’elle conduit inévitablement au relativisme qui reste le grand danger de l’oecuménisme mou comme du dialogue interreligioeux, et rend obsolète l’évangélisation. Et en fait de ” fidèles à l’évangile” , nous sommes en droit et en devoir d’affirmer clairement l’infidélité doctrinale,. Quant aux personnes, nous n’avons pas à en juger ni pour affirmer ,ni pour nier, Dieu seul en jugera. La perspective oecuménique est eschatologique !
    Mais l’esprit de l’oecuménisme ne devrait pas concerner seulement cette semaine de l’unité des chrétiens, car l’église catholique elle même est profondément divisée comme on a pu le constater au récent synode, ou comme le vivent bien des catholiques étrangers en leur propre église, car ne pratiquant pas la langue de buis, osant dire les vérités qui dérangent, ou refusant simplement la domination idéologique et l ‘orientation partisane.

  6. Le Guen dit :

    C’est tjs l’Eglise catho qui “cède du terrain”. Y’en marre aussi. Quand est ce que les autres se décideront à faire le premier pas ? Les protestants devraient savoir que Calvin et Luther ont vraiment très chaud là où ils sont, un peu trop chaud même (des âmes privilégiées ont vu leur âme brûler en enfer). Donc dialogue, unité des chrétiens oui, nivellement par le bas et synchrétisme non. Et qu’on “de tout mettre sur le dos de Vatican II. Il a bon dos ce concile. Dès que qqchose ne va pas on dit “ah c’est Vatican II”. C’est pas vatican II c’est ce que certains “princes de l’Eglise” et prêtres et religieux et laïcs huluberlus en ont fait. C’est pas VAtican II qui a pondu “Pierres vivantes” alias pour moi “Pierre Mortes” que j’ai refusé d’enseigner, et que j’ai enseigné le chapelet, la Vierge Marie et Jésus Christ mort et ressuscité pour nous, ah oui et horreur pour les dames caté, j’ai osé parlé des anges, de l’esprit-Saint. Vous voyez le pb, en mois, on m’a retiré tous les enfants car je ne faisais pas “pierres mortes”, pire encore j’ai osé dire aux enfants qu’avant la 1ère communion, il fallait se confesser.

  7. Le Guen dit :

    Ben comme le dit le titre, on y a droit régulièrement aux “bouilleries” de la semaine.

  8. Casterman dit :

    À le GUEN : Je suis prêtre au Cameroun, et je peux vous affirmer que le déplorable relativisme dont vous avez souffert dans l’Église catholique N’EXISTE PAS EN AFRIQUE.
    Les protestants — et même les “évangéliques-pentecôtistes”— partagent l’essentiel de notre CREDO (sauf que l’Eglise Catholique est dite “universelle”).
    J’ai d’excellents rapports avec mes frères des “autres églises”, qui sont beaucoup plus ouverts que nous ne pensons.
    À CONDITION de les écouter, et de RÉPONDRE à leurs QUESTIONS et leurs critiques contre l’Église catholique.
    — Mais malheureusement, trop de prêtres sont sourds aux critiques contre le catholicisme !
    — À qui la faute s’il y a si peu de dialogue entre les chrétiens ?

  9. DUFIT THIERRY dit :

    Ah oui vous avez raison on peut vraiment appeler ce texte “bouillerie”. Comme œcuménisme indifférentiste et maçonnique on ne fait pas mieux.
    Pour cet évêque il n’ y a plus UNE SEULE Eglise fondée par Notre Seigneur mais une multitude d’églises mises sur un pied d’égalité.
    Les catholiques qui veulent sauver leur âme doivent refuser de se soumettre à de tels évêques hérétiques – car malheureusement cet évêque n’est pas le seul à tenir un tel langage- qui mènent les catholiques à la perdition éternelle.

  10. Ecossais dit :

    La foi en Dieu qui s’estompe selon cet évêque, que voici un doux euphémisme
    Pour ce qui concerne notre pauvre archi-diocèse de BESANCON c’est la pratique catholique qui s’effondre littéralement dans nos paroisses, exceptée à la FSSP où les fidèles sont chaque dimanche plus nombreux (bienvenue également à notre 3°abbé)
    Vous qui répétez Jean Luc BOUILLERET a qui veut l’entendre que vous n’êtes pas là pour sauver l’Eglise, bravo, mission accomplie!
    La patience, ne vous inquiétez pas, nous en avons beaucoup et nous savons que l’Eglise progressiste que vous représentez est sur un déclin irréversible, c’est juste une question de moyenne d’age des pratiquants et des clercs. Si vous ne voulez pas rester avec moins de 5 prêtres en activités sur notre diocèse d’içi quelques années, il faudra radicalement changer votre méthode, et ravaler votre dédain pour les catholiques traditionnalistes.Nous allons arriver bientôt au temps du carême ou le Christ nous appelle à la conversion des coeurs, je prierais pour vous afin que vous soyez touché par cette grace.