Perepiscopus

Amoris laetitia selon le Service national Famille et Société

Commentaires (4)
  1. Cassianus dit :

    “la route de Jésus, est celle « de ne condamner personne éternellement » (AL 296)” : Jésus, il est vrai, se montre disposé à pardonner à quiconque se repent. Mais le repentir reste la condition de son pardon. Quand, au jugement dernier, il dira à certains d’aller au feu éternel, ce sera lui qui les condamnera et ce sera éternellement.
    Matthieu 25,41:
    “Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges.”
    C’est afin de leur éviter ce sort que l’Eglise, par ses pasteurs, punit certains pécheurs en leur refusant la communion eucharistique. Elle veut par là les avertir du malheur irréparable qui les attend s’ils n’abandonnent pas leur conduite perverse. En les excommuniant, elle fait alors oeuvre de miséricorde.

  2. Antoine de Lisbonne dit :

    Amen Cassanius.

  3. Germain BERTRAND dit :

    Je m’attendait à pire (bien pire).

    Ce n’est pas si mal. La dame a pris son temps, comme il le faut, et essaie d’accueillir l’exhortation tout entière.

    Dieu vous garde

    Garmon

  4. Hervé Soulié dit :

    Les chapitres 1 à 9 (hors le chapitre 8) sont un énoncé de considérations déjà dix mille fois exposées.
    Non pas fausses, pas du tout, mais sans valeur ajoutée nouvelle, hormis la répétition.
    le chapitre 8 est simplement hypocrite :
    Il s’épuise à contourner l’Écriture sainte, usant des subterfuges habituels, le discernement, la gradualité, la miséricorde, qui est dans ce contexte quelque peu dévoyée.
    Ce même chapitre contredit non seulement l’Écriture sainte, mais aussi l’enseignement séculaire de l’Église, la Tradition.
    C’est dire avec quelle prudence il faut accueillir cette exhortation.