Divers Jeanne smits

Les Journées de la Terre-Mère s’achèvent sur une déclaration commune

Commentaire (1)
  1. Denis Merlin dit :

    Le droit étant une des faces de l'obligation morale, il n'y a de droits que parce qu'il y a des devoirs. (Si je dois respecter le droit des autres, c'est parce que j'en ai le devoir et que je peux et même doit y être contraint par la force publique).

    Or la “terre” n'a aucun “devoir” envers nous, ne serait-ce que parce qu'elle n'est pas un être spirituel, ni même vivant d'ailleurs.

    Nous, les hommes avons des devoirs envers nous et les autres êtres humains (actuels et futurs) et c'est pourquoi nous devons prendre soin de l'environnement, mais n'avons aucune devoir direct envers un être inanimé et sans conscience (la terre).

    Nous assistons à la résurgence des superstitions païennes. Cela entraîne le mépris de l'homme (entre autre : grand massacre des foetus) et à la divinisation des animaux nuisibles.

    Attention les authentiques droits de l'homme sont menacés, voire anéantis par ces élucubrations d'un autre âge.

    Merci, madame, d'attirer notre attention sur ces choses qui auront des suites incalculables.

    Seule la doctrine de l'Eglise et le retour à la raison, la dénonciation des diffamations et des affirmations idéologiques peuvent nous sauver.

    S'il est vrai que le transfert de technologies peut être envisagé ainsi que toutes autres actions de solidarité et de lutte contre la pauvreté peuvent être envisagées, ce qui est en jeu aujourd'hui ce sont les principes condamnables.

    Exigeons l'abandon et la condamnation explicites par l'ONU des principes de cette déclaration contraire aux droits de l'homme.