Perepiscopus

La miséricorde n’est pas un concept mais une personne

Commentaires (2)
  1. LE GUEN dit :

    Ah oui le Père Franz Stock, un grand et saint homme, qui aimait profondément la France et avait vu clair sur le nazisme. Il visitait les prisonniers à Fresnes, et à défaut de les faire libérer, les confessait, donnait l’eucharistie, les réconfortait spirituellement et affectivement et chose ultra-interdite qui aurait pu lui coûter cher, faisait passer les lettres des familles aux prisonniers et des prisonniers aux familles, et nourriture et faisait le maximum pour eux. Après il a admirablement dirigé le séminaire des barbelés à Chartres pour donner des vocations à l’Allemagne pour la reconstruire sur le plan spirituel. Tous ses séminaristes ne sont pas devenus prêtres, mais ils ont fait de très bons pères de famille formés spirituellement, et de très bon célib’.

  2. Bayard dit :

    Oui le Jésus-Christ vrai Dieu et vrai homme est la promesse réalisée en son Fils de la miséricorde de Dieu pour tous les fils d’Adam marqués par le péché. Il faut bien constater en cette année consacrée à la Miséricorde que notre divin Rédempteur est passé sous silence au profit de la “miséricorde humaine” qui n’est que de la pitié, et que même la miséricorde spirituelle envers les âmes du Purgatoire n’a encore jamais été évoquée. Etre miséricordieux pour l’Eglise d’aujourd’hui, c’est faire du social, sans aucun souci des âmes et de leur salut. Ce n’est pas la volonté de Dieu: “A quoi sert de gagner le monde, si tu viens à perdre ton âme”.