Perepiscopus

“La beauté à travers l’art et la foi”

Commentaires (3)
  1. BERTRAND dit :

    Riposte catholique pourrait-elle faire connaître l’association Narthex ? A la CEF.

    Dieu vous garde

  2. Nicolas Chahine dit :

    Nous vivons en un temps qui aime la concision et n’a plus de temps aux verbiages et aux redactions. voir l’immensite du texte, certains dont moi, s’eclipsent.

  3. Luc-Laurent Salvador dit :

    Il y en a qui voudraient accéder à la beauté sans faire le travail d’aller vers elle. C’est dommage, ils ne savent pas ce qu’ils perdent.
    Moi qui m’attendait au pire, j’ai lu ce texte sans même avoir bien compris qui en est l’auteur et j’en suis bien aise car il est vraiment excellent alors qu’il est si facile de perdre en considérations oiseuses sur la beauté.
    Il me semble y avoir retrouvé tous les fils nécessaires à une pleine saisie de ce qu’il faut entendre par beauté mais, de surcroît, la chose été accomplie en contexte religieux, ce qui, tout en donnant sa pleine valeur à l’exercice, le rendait d’autant plus difficile.
    Bref, chapeau à l’auteur, avec un seul regret toutefois : sauf inattention de ma part, je n’ai pas vu de distinguo suffisant entre l’art et la beauté. L’auteur semblait passer de l’un à l’autre comme si la chose allait de soi alors que, malheureusement, c’est loin d’être le cas.
    Les artistes modernes n’ont souvent plus qu’une affreuse prétention à la beauté (quand il ne lui ont pas tourné le dos de manière assumée). Ils s’en sont fait les prêtres auto-proclamés et il me semble que c’est une position illégitime qui, jusqu’à un certain point, fait concurrence à l’Eglise.
    La beauté, comme le soleil, brille pour tout le monde, nul n’en a l’apanage. Chacun porte en soi la capacité d’entrer en résonance avec elle, de l’apercevoir et de se laisser saisir.
    Les artistes peuvent y aider, ils peuvent aussi y faire obstacle.