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Menace sur les finances de l’Eglise en France ?

Commentaires (6)
  1. Chouan Catho dit :

    C’est une sage décision des élus socialistes. Mais, fiers de leur laïcité, respectueux de la vertu républicaine, ils se doivent d’appliquer le deuxième terme du triptyque républicain : Egalité. Cette loi devra s’appliquer aussi aux protestants (qui font le dos rond en attendant l’éloignement de la tempête) mais aussi à d’autres, sans oublier le ministère de l’Education nationale, ses profs, instits et autres éducateurs.
    Et les mêmes devront bien un jour reconnaître que ces faits relèvent plus de l’homosexualité que de manies de “touches pipis”.

  2. emilie dit :

    Si cette menace pouvait faire réfléchir et contribuer le clergé à écouter les demandes pressantes des catholiques concernant un retour aux sources de l’Evangile et non sa ré-interprétation à leur idée !
    On continue aussi, par endroits, à refuser obstinément la Tradition à ceux qui veulent revenir à la Messe de toujours… tant qu’on ne comprendra pas ce désir essentiel de catholiques et à dire (le vivre ensemble) et faire n’importe quoi (prières communes dans les églises) sur l’immigration musulmane imposée, il faudra accepter que les finances baisses irrémédiablement car la question est :
    pourquoi subvenir aux besoins de prêtres et hauts dignitaires qui se comportent en dictateurs envers leurs fidèles ?

  3. Eve dit :

    Il faut tout d’abord apprécier que le mot ” pédocriminalité” soit utilisé dans ce texte et non pas “pédophilie”.

    Il y a environ 25 ans, lorsque sur la place publique il y avait des affaires pires encore, et avec crimes de sang,, et qui ne concernaient pas certains Judas du clergé, j’avais demandé, verbalement, à un sénateur que le mot “pédophilie” ne soit plus employé, il m’avait alors très mal répondu sur le fait de ne plus utiliser un mot.

    Le terme juste de “pédocriminalité” est à employer même dans le langage courant.

    Il serait bien qu’une commission d’enquête soit faite aussi sur la “pédocriminalité” qui existe aussi dans le reste de la société.

    A l’Eglise de sanctionner tous les Judas, ceux qui ont commis le mal et ceux qui n’ont pas pris les mesures nécessaires, qu’ils démissionnent. Car ce n’est pas en changeant le sens du mot “cléricalisme” que le mal
    sera expié.
    Il faut revenir au catéchisme et ré-expliquer à tous les Dix Commandements de Dieu.
    Les Dix Commandements ne s’imposent pas seulement aux catholiques.

  4. Mercier dit :

    Permettez-moi de rappeler que les abus sexuels dans l’Eglise catholique concernent, dans l’immense majorité des cas (80%) des actes homosexuels.
    L’Eglise les condamne à très juste titre mais ils ne sont pas répréhensibles au titre de la justice laïque. puisque celle-ci ne les considère plus comme crimes, ni délits, ni même comportements coupables et donc ne les sanctionne plus.
    Il conviendra donc de veiller très attentivement à ce que d’éventuelles commissions parlementaires ne s’interrogent que sur ces ces dossiers de PEDOPHILIE.

    Et alors la baudruche se dégonflera d’elle même.

    Je suggère à nos Evêques de faire savoir courageusement à qui de droit que plus on leur parlera “pédophilie”, plus ils répondront “homosexualité”. Et, naturellement de le faire, le moment venu.

    Cela risque de refroidir bien des ardeurs anticléricales

  5. Treyville dit :

    “Emilie
    13 octobre 2018 à 9 h 31 min –
    Si cette menace pouvait faire réfléchir et contribuer le clergé à écouter les demandes pressantes des catholiques concernant un retour aux sources de l’Evangile et non sa ré-interprétation à leur idée !”

    Malheureusement, Émilie, ils n’écoutent pas. C’est le principal problème. Je ne partage pas nécessairement les solutions que vous proposez. Mais il faut toujours commencer par écouter. Regardez, le président de “La Parole libérée” a refusé de se plier au format d’audition que la Conférence des évêques avait proposé pour Lourdes. Il semble qu’ils soient sidérés par ce qui se passe. Dépassés. Prions pour eux, mais comme le disait un prêtre cité par riposte catholique, les communiqués d’indignation, d’affectation de solidarité avec les victimes ne suffisent plus à personnes. Ce qui manque, c’est l’humilité. Se faire plus petits que les victimes. Ainsi a fait le Seigneur avec nous ! Et les pauvres l’écoutaient, ils se sentaient compris, aimés par lui.

  6. Treyville dit :

    Si cela nous permet de revenir au vrai Evangile de Dieu, alors, cela servira à quelque chose. De toute façon, c’est l’unique issue : revenir à l’Évangile, devenir serviteurs !