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Toulouse : menace sur la crypte de l’église Saint-Aubin

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Une breloque pour Mgr Delannoy
Commentaires (4)
  1. Hong Kong dit :

    Un très dangereux précédent .
    Il ne faudra pas se plaindre après.
    Y a-t-il encore des catholiques dans ce pays ??

    Quelle Honte!!

  2. Jean-Pierre Snyers dit :

    Comme chacun le sait, la révolution française a détruit, confisqué et volé des quantités de biens appartenant à l’Eglise. Nous sommes à présent en 2019 et que cet acharnement à tout faire pour continuer à supprimer toute trace du christianisme dans ce smerveilleux pays qu’est la France dépasse l’entendement. Rien que du point de vue historique et culturel, cette frénésie qui consiste à abattre ce qui rend attractif l’hexagone aux yeux de ceux qui, tels les américains s’extasient face à la richesse du patrimoine ancien que comporte ce pays qui reste le plus visité du monde, ne semble rien d’autre qu’un crime. Dès lors, au niveau religieux, comment serait-il acceptable de voir des évêques qui, par leurs silences coupables, participent à laisser s’en aller ce qu’ils devraient protéger? Reniant (à quelques exceptions près) leur devoir d’évangéliser et à plat devant le monde, ce n’est pas sur eux que les chrétiens peuvent compter pour monter au créneau pour défendre les trésors légués par nos anciens. et encore moins la foi qui animait ceux-ci.
    Site internet: jpsnyers.blogspot.com

  3. Jean-Jacques dit :

    Oui un dangereux précédent. Il me semble que les édifices cultuels sont entièrement affectés au culte. On a déjà laissé faire n’importe quoi avec les concerts . Mais désaffecter une partie d’une église, à des fins commerciales en plus me parait très dangereux. Je vois que pas grand monde se soucie de cette question mais quand toutes les églises seront ainsi saucissonnées, c’est à dire retirées au culte par morceaux, il y aura beaucoup de cris…mais ce sera trop tard

  4. Canonicus dit :

    Un article de La Dépêche du Midi – journal “fraternel” comme on sait -, dans son numéro du 30 juillet (“Abandonnée, la crypte Saint-Aubin va renaître”), fait état de l’épreuve de force engagé par le promoteur pour obliger l’archevêché de Toulouse à accepter la désacralisation. Le promoteur souhaite engager une concertation avec les associations pour prendre en tenaille le diocèse.
    Il est bin vrai que, si Mgr Le Gall lâchait, cette désacralisation partielle d’un lieu de culte serait un précédent désastreux.