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Sede indigente

Commentaires (3)
  1. Deux remarques préalables.
    Ce texte ressemble à un éditorial et il n’est pas anonyme (comme c’est le cas dans le journal “Le Monde” si mal famé aujourd’hui, et c’est mérité.

    Ce commentaire n’a rien d’impertinent.

    Si seulement nous avions des cardinaux qui défendaient le principe d’autorité pour gouverner, ils s’empresseraient aujourd’hui d’anticiper l’arrivée de la fumée blanche annonçant un nouveau pape (je fais allusion à la dernière phrase du commentaire : c’est cela que vous trouvez insolent à RC ?) ; ils inviteraient alors celui qui usurpe par son comportement (pas dans la désignation, apparemment) la mission de successeur de Saint-Pierre, conformément à la volonté de Jésus-Christ instituant l’Eglise

    Si seulement nous disposions aujourd’hui d’une nouvelle Sainte Catherine de Sienne (qui ne ressemble pas à Greta Thunberg, qui a derrière elle beaucoup de tunes pas très fiables…. ironie) invitant le “doux Vicaire du Christ” à se convertir ou alors à renoncer à sa charge, nous ne serions pas dans cette situation qui fait souffrir tant de fidèles.

    Ce gouvernement de l’Eglise est démissionnaire (pas seulement le pape, mais les cardinaux pris “en collège”) et rien n’est fait en son sein pour prier (dans tous les sens du terme) ce pape suffisant et irresponsable de revenir à la charge qui lui est confiée, confirmer le Magistère ou alors de renoncer à sa charge. Cela nous éviterait les initiatives – pas toujours efficaces et marquées par l’âge de celui qui les a prises – d’un “pape émérite” qui ajoutent du désordre au désordre.

    Et nous les fidèles devons prier pour l’Eglise et faire des sacrifices, ce qui n’interdit pas de prendre des initiatives comme le fait par exemple M. de Mattei pour demander la fin des scandales et du déshonneur.

  2. Kardaillac dit :

    C’est la séquence des chaussures de 2013 qui m’avait alerté sur la fausse simplicité de Mgr Bergoglio. Les gestes de vif agacement qui ont été diffusés le premier de l’an quand une croyante fervente a tenté de le retenir une seconde, et sa manie de retirer l’anneau papal à toute tentative de baiser de la part de pèlerins, ont montré qu’au-delà du vicaire du Christ, le bonhomme Bergoglio n’a aucune empathie sincère, doublée d’un coté renfrogné fort déplaisant. Vivement la suite.

  3. Jean Rascol dit :

    Critique indigente : le pape a reçu la personne dont il s’était dégagé un peu brutalement pour s’excuser .