Perepiscopus

Les chrétiens ne doivent pas déserter le champ politique

Commentaires (5)
  1. cathelineau dit :

    Le seul parti politique Catholique incite les fidèles à s’engager en politique, et ainsi intégrer des listes déjà constituées ou bien monter des listes dans les villages.
    Avantage de cet engagement, faire passer des idées, être informé des projets, prendre la parole en public et surtout travailler pour le BIEN COMMUN.

    CIVITAS AUDE – ARIEGE

    civitas11@gmx.fr

  2. mezeray dit :

    “la classe ecclésiastique dominante” dans l’Eglise de France a tranché entre l’indigence et la trahison au moment du concordat napoléonien et ses suites.
    Ils ont choisi la trahison. La FRANCE, depuis lors, est devenue petit à petit apostate et aujourd’hui complètement apostate.
    Lorsque ces Messieurs se repentiront de leur “faute concordataire” et renoueront avec le pacte de Reims, la Royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ redeviendra possible et la foi refleurira.
    Hors ce repentir, nous continuerons de nous enfoncer dans l’obscurité du néant, tout simplement.

  3. Marc Doucet dit :

    De même pour le domaine des communications, des arts, des technologies, des finances, etc…. Les chrétiens doivent envahir tous les domaines de la société pour l’influencer car l’éthique chrétienne quand elle est amenée au niveau exigé par notre Seigneur Jésus est ce qui a de meilleur pour le monde, comme une résurrection d’entre les morts. https://leaderschretiens.com/2015/10/15/envahir-les-spheres-dinfluence/

  4. Rémi RIVE dit :

    Tout à fait d’accord avec ce que dit l’évêque de Pamiers.
    Mais le rôle de l’évêque est aussi et surtout de soutenir ses curés, d’enseigner le dogme catholique.
    Qu’il laisse son dada écologique à des spécialistes et aux frères trois points et qu’il dise sa foi catholique.

  5. Arome dit :

    Bonjour Mezeray,

    c’est amusant : le terme “Royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ” est en circulation essentiellement depuis les nombreux enseignements du Cardinal Pie, évêque de Poitiers. Or celui-ci faisait partie de l’Eglise post-concordataire !

    Mais bon, pour une fois que la critique ne cible pas Vatican II, on ne va pas se plaindre :)

    Plus sérieusement : il n’y a pas de cassure dans l’histoire de l’Eglise. En revanche, il y a effectivement un fléchissement marqué depuis quelques temps. Il peut y aussi y avoir des redressements. Les explications monocausales ne tiennent pas la route, à moins de se brancher sur la Cause unique. Tout vient d’un manque d’amour du Christ (et vous pouvez appliquer ça à tous les siècles). Commencez par adorer plus, et ça ira mieux. Dieu vous garde, priez pour moi,