Église universelle

Remarques sur le dialogue interreligieux

Commentaire (1)
  1. On ne sait jamais : peut-être qu’avec la crise sanitaire, les “dialoguistes no-limit” auront-ils le désir de se convertir, surtout si le Saint-Sacrement montré en procession par un simple prêtre saint comme le Saint-Curé, allant dans des rues vides “se présente” à eux, ou bien, si, entrant dans une église ouverte, un prêtre de paroisse lisant “prions en Eglise” se tient à l’entrée, proposant de se confesser au confessional, ou sans crier gare, éprouvent le besoin de rechercher un sanctuaire où l’on dit encore la messe, surtout si c’est le jour de Pâques (dans 15 jours ; malgré l’oukase de M. Macron, sauf s’il consent à brûler un cierge très vite, le virus restera virulent, Dieu n’aimant pas qu’on se moque de lui impunément).

    Et voilà, c’est comme cela que l’on mettra fin à “70 ans de crise”. Mais cela se fera par étapes, la première étant que ces nouveaux convertis, surtout s’ils sont membres de la CEF ou chefs d’un Dicastère demandent au pape heureusement régnant d’invalider “Nostra Aetate” et “Dignitatis Humanae”…. et de condamner au passage Jacques Maritain par encyclique.

    Mais nous aussi, brûlons un cierge devant Notre-Dame de toutes grâces, plus particulièrement en ces jours, en pensant notamment à ces futurs nouveaux convertis..