Église universelle

Redécouvrir la philosophie réaliste pour sortir de la crise de l’Eglise

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Rosaire pour la France
Commentaires (2)
  1. Bah !
    C’est toujours le même lecteur….toujours aussi prolixe.
    Au fait, a-t-il adressé à son évêque une supplique pour demander la célébration de la Vigile pascale en public ? Y sera-t-il cérémoniaire, grand clerc ou enfant de choeur ? Il me semble que c’est que Jésus-Christ attend d’abord.

    et qu’il relise tranquillement ce que vient d’écrire Mgr Vigano’ (sans le commenter ; le texte se suffit à lui-même) :

    http://www.correspondanceeuropeenne.eu/2020/03/31/entretien-avec-s-e-mgr-carlo-maria-vigano/

  2. Arôme dit :

    Bonjour Henri, heureux d’être cette fois encore d’accord avec vous. L’auteur est prolixe. Le propos est souvent intéressant, mais trop long.

    L’auteur a mis de l’eau dans son vin, et conçoit que la crise a commencé avant Vatican II. C’est un début. Je concède qu’il faut continuer à le questionner publiquement, avec respect et sans insulte.

    Maintenant, soyons réalistes : l’histoire est finie. La messe en latin est en train de reprendre pied partout, et d’autant plus solidement qu’elle a été persécutée. Il faut continuer à soutenir les jeunes prêtres qui se mouillent pour la dire au sein de l’Eglise, mais il y a un consensus dans les forces vives de l’Eglise (les tradismatiques) : la messe en latin est belle, elle est spirituellement porteuse. Pas la peine d’en dire plus. Les attaques en cours démontrent une certaine panique des vieux hérétiques devant cette messe qui ne veut pas mourir, mais leur moment est passé.

    D’où l’importance que les nouveaux vainqueurs ne reproduisent pas les ignobles contre-témoignages des modernistes des années 68, insultant, ostracisant, n’hésitant pas à faire usage d’intimidation, d’abus de pouvoir et d’autorité. Surtout, soyons des vainqueurs magnanimes, déterminés mais magnanimes. Et dans 20 ans, quand les derniers dinosaures seront morts, la réfutation de Vatican II apparaîtra comme une évidence sur laquelle on glissera rapidement pour ne pas entamer le crédit de l’institution. C’est souvent comme cela.

    Néanmoins, la récente lettre ouverte des pseudo-théologiens nous rappelle le devoir d’opposition courtoise et ferme. Ils ont perdu. Il faut juste le leur rappeler gentiment et fermement.