Summorum Pontificum

A propos de la liberté de culte

Commentaires (3)
  1. Gauduin dit :

    Il y a de vraies questions et un tissus d’approximations dommageables.
    Dénommer « œcuménisme » la relations non seulement aux chrétiens d’autres confessions mais aux juifs et aux musulmans n’est pas honnête, et n’est présent dans aucun document officiel de l’Église, où cet abus de langage reste clairement tel.

    Lier la passivité de la conférence des évêques françaises à un fruit de la collégialité né de Vatican II est tout autant manifestation d’une profonde méconnaissance des textes de ce concile.
    La collégialité fait partie de la réalité ecclésiale sinon, il n’y aurait eu aucun concile).
    Une conférence épiscopale ne jouit d’aucun pouvoir de juridiction.
    Que chez nous elle cède aux sirènes déjà présentes dans les diocèses et leurs commissions diverses, c’est une chose; mais la rapporter à une réalité ecclésiale de;longue tradition en est une autre.

    Sans compter que la passivité épiscopale française, ou de sa majorité, a eu bien des occasions de se manifester, bien avant le concile Vatican II. Faut-il rappeler des exemples?

    Et que déjà à la Salette par exemple, donc bien avant aussi le concile Vatican I, Marie a appelé aux changements et conversions des clercs, dont les travers, déjà, se nommaient « politique; appétits mondains et vie morale dissolue pour un certain nombre » (d’ailleurs, dérivés plutôt traditionnelles elles aussi du clergé, depuis les commencements (voir par exemple au moment du concile de Trente).

    Alors, de grâce, ne ternissez pas de vraies questions avec ces arguments qui ne sont que de la fumée. Il y a mieux à faire

  2. Gauduin dit :

    Les fautes de frappe et autres facéties du correcteur orthographique m’ont échappé. Merci de m’en excuser

  3. Si ce commentaire avait été écrit pendant la semaine sainte, il aurait donné de la crédibilité à la Fraternité qui, en la matière, n’a pas fait mieux que la CEF au même moment.

    Et maintenant la Fraternité veut jouer aux inspecteurs des travaux finis ?