Summorum Pontificum

Motu Proprio à Reims : une situation toujours bloquée

Commentaires (6)
  1. BAINVILLE dit :

    S’ils tiennent à assister au saint sacrifice, comme nous les comprenons, qu’ils aillent au bout de leur estimable quête.

    Qu’ils viennent à la Fraternité Saint PIE X, qui n’est pas le Diable, bien au contraire.
    Cette dernière, en toute charité, prie à chaque messe, au moment le plus sublime du Canon, pour le Pape François, et pour Mgr de Moulins Beaufort, afin que Dieu les assiste et les éclaire dans leur lourde charge, ainsi que Jésus Christ l’a recommandé à tous ses prêtres qui sont d’autres Christ.

    L’archevêque de Reims est un homme de Dieu, et il sait reconnaître tous les serviteurs de Dieu, surtout ceux de la FSSPX, qui doivent tout à Jésus, tête de l’Eglise, serviteurs formés grâce à l’institution fondée par l’héroïque évêque fidèle dans les plus grandes tribulations, les spirituelles.

  2. Bruno ANEL dit :

    Avoir une messe par mois, c’est le lot de nombreux fidèles en zone rurale

  3. Moi dit :

    Malheureusement, la situation semble être à peu près la même partout.
    A l’exception des grandes villes où l’on peut trouver une chapelle desservie par un « institut ecclesia dei », les catholiques qui veulent bénéficier des sacrements dans leur forme d’avant la réforme liturgique sont contraints de faire des kilomètres pour trouver un endroit où le prêtre n’est souvent pas résident.
    Les curés et les évêques refusent non seulement qu’un diocésain célèbre selon le missel tridentain mais refusent également l’implantation de prêtres d’instituts traditionnels.
    Certains évêques de diocèses dévastés vont même jusqu’à prétendre qu’ils ont assez de prêtres pour refuser l’arrivée des « tradis ». Ils sont d’ailleurs soutenus en cela par leur presbyterium dont la frange la plus classique redoute la concurrence pendant que la plus progressiste exècre le latin l’encens et tout ce qui, dans la liturgie, a plus de 50 ans.
    Le motu proprio de B XVI reste lettre morte.

  4. Arome dit :

    Bonjour Bainville,

    vous prêchez pour votre paroisse, c’est compréhensible. Dans l’intérêt de l’Eglise, il n’est pas certain qu’il soit bon que les demandeurs rejoignent la FSSPX. Il y a une alliance objective et pas très saine entre les évêques qui rechignent au motu proprio et la FSSPX. Les évêques disent aux demandeurs : allez donc dans le terrarium pour tradis, la FSSPX, et ne polluez pas l’Eglise. La FSSPX répond : venez chez nous chers amis, vous voyez bien qu’il n’y a que la FSSPX qui marche. Or justement pas. Tant que les dégoutés quitteront l’Eglise, il ne restera que les dégoutants. Le but est la reconquête. La forme extraordinaire fait partie du trésor de l’Eglise, point final. Les évêques doivent appliquer le droit canon, ou alors il faut reconnaître honnêtement que ce droit ne sert à rien. La forme extraordinaire doit être proposée dans toute l’Eglise, et sortir de son confinement.

  5. Justine dit :

    Même quand la situation est soit disant débloquée elle est quand même bloquée !
    J’ai eu l’occasion d’assister au Saint Sacrifice de la Messe à La Miséricorde à Cannes mais je ne suis pas resté jusqu’à la fin tant c’était insupportable de voir le prêtre et les enfants de choeur esquichés par une table vide et inutile et qui bouchait la vue devant l’autel, les empêchant de célébrer la Messe dignement et correctement, ils ne pouvaient se déplacer et se mettre à genoux qu’avec grande difficulté. Pareil quand je suis allée à Rome dans une belle eglise !
    Alors quand on se figure que la situation est “débloquée” !

  6. Justine dit :

    @ Arome j’aime bien votre commentaire ! …. je me demande si vous priez … “saint” Paul VI … pour faire un miracle ! …