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Commentaires (7)
  1. je suis effondrée de voir le comportement de l’évêque contre une fraternité qui suit très bien les demandes de notre Pape actuel. Prions pour que nous soyons libéré du démon qui fait tant de mal. je soutien la fraternité st Pierre

  2. Nous sommes trés surpris que notre èvéque prenne de telles dispositions. Et nous pensons bien qu’il reviendra sur sa décision

  3. représentant le site cistercien de Signy lié à Guillaume de Saint-Thierry, je prie celui-ci d’ intercéder auprès de l’Esprit Saint (dont il est le chantre) pour qu’il conforte Monseigneur Minnerath dans son ministère et reconnaisse le bienfait passé – et avenir espérons – de la fraternité Saint-Pierre sur cette terre de Bourgogne qui a tant besoin de prêtres œuvrant comme eux pour le règne du Seigneur : combien nous aimerions, à leur exemple, avoir des communautés vivantes pour faire vivre notre Eglise de France… Un tel bienfait ne peut pas être détruit par son père spirituel qui en est responsable devant le Seigneur … En union de prières …

  4. edwige Dalet dit :

    Prions pour que l’évêque entende les suppliques des chrétiens Edwige Dalet

  5. edwige Dalet dit :

    Prions afin que l’évêque entende les suppliques des chrétiens

  6. Kevin dit :

    Surtout ne vous trompez pas ! … ne priez pas « saint » Paul 6 !
    Saint Pierre a du lui claquer la porte au nez la haut ! comme à lui et ses acolytes modernistes conciliaires qui ont fermé la porte, chassé les catholiques de leurs églises, relégué le Christ et interdit le Saint Sacrifice de la Messe ! Satan ne prévaudra pas, les catholiques continueront et garderont la foi, on ne se moque pas impunément de Dieu !

  7. theodule dit :

    Les prélats comme Mgr de Dijon pensaient que tolérer les pratiques d’avant Vatican II devait assurer le calme le temps que les “vieux” attachés à ces pratiques disparaissent et que les jeunes générations soient “formées” dans le merveilleuses nouveautés.
    Leur problème c’est que les jeunes générations se tournent vers les pratiques “traditionnelles” en communautés florissantes alors que les transformations “DU “concile (largement dépassées par les permissions épiscopales) n’ont eu pour résultat que vider églises et séminaires .
    A côté du problème de fond, ceci, en termes purement humains, a toutes les caractéristiques d’une utopie, sur laquelle aucune réalité n’a prise : l’utopie a raison, a eu raison et aura raison malgré les dégâts collatéraux (attribués à une insuffisante application de ses excellents préceptes) y compris jusqu’à sa propre autodestruction.