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Une réflexion sur l’après-François

Commentaires (7)
  1. TD dit :

    Oui si on veut relever l’Eglise un jour il faudra rejeter Vatican II et ses textes teintés d’hérésie (Dignitatis Humanae, Gaudium et Spes, Nostra Aetate), il faudra abandonner cet œcuménisme délirant , l’esprit d’Assise, ce dialogue inter religieux qui met toutes les religions à égalité.
    Cette religion maçonnique détruit la foi et l’Eglise de fond en comble.
    Il n’y a pas de bon concile mal interprété.
    Les conservateurs comme Benoit XVI malgré leur bonne volonté n’apportent pas la bonne solution.
    Vatican II est une faillite totale. Ruine totale Il faut jeter ce concile.
    Combien Mgr Lefebvre a été clairvoyant.
    Dès 1966 Mgr Lefebvre prévoyait le naufrage à venir. Voir la lettre de Mgr Lefebvre (alors supérieur général des spiritains) du 20 décembre 1966 au cardinal Ottaviani

  2. Kevin dit :

    « Médiocres et incompétents » … c’est bien pire que ça malheureusement !
    Bergoglio qui canonise Paul6 ! il faut oser, avec ce pontificat c’est le tunnel conciliaire et post conciliaire qui continuent. L’abîme nous y sommes.

  3. Jean Bosco dit :

    Ni progressiste ni traditionnaliste, la “Parole de Dieu” reste la même hier, aujourd’hui et demain, quelle que soit la langue dans laquelle elle est traduite, célébrée et chantée. Les querelles autour du Vatican II relèvent de l’idéologie. Or, tout ce qui est “idéologie” est conflictuel car ça n’admet pas le débat contradictoire, ça exclut et ça tue! Le pape Jean XXIII, en convoquant le Concile Vatican II, voulait tout simplement permettre à l’Eglise universelle de mettre en œuvre les acquis de la ”Pentecôte de l’an 30” après Jésus-Christ: “Ces gens qui parlent ne sont-ils pas des Galiléens? Comment se fait-il que chacun de nous les entende dans sa langue maternelle?” Seul le pape Jean XXIII avait compris le message de la Pentecôte en permettant à chaque peuple du monde entier, croyant ou non, de traduire, de lire, de comprendre et de célébrer la Parole de Dieu dans sa langue locale. Par conséquent, seul le pape Jean XXIII mérite d’être qualifié de “Saint Pape”…La confession catholique meurt par la faute du clergé qui a destitué Dieu le Père et expulsé le Christ de l’Eglise, en mettant sur pied un “nouveau christianisme” sans Dieu, sans éthique ni morale, capable de plaire au monde entier, sans aucune référence à la Parole de Dieu qualifiée d’obsolète! Certains évêques qui se plaignent de l’islamisation de leurs pays doivent savoir que ce n’est que le début de la fin du catholicisme romain dans la plupart des pays, car les prêtres étrangers en Europe sans paroisse, abandonnés à leur triste sort, victimes de chantage tel que: “Si vous n’adhérez à l’homosexualité, on ne va pas renouveler votre prise en charge et vous n’allez renouveler votre titre de séjour, vous allez rentrer chez vous…” Ce sont ces prêtres-là qui écrivent à leurs communes, leurs parents, leurs amis en leur demandant de quitter le catholicisme romain, et de ne pas envoyer leurs enfants au séminaire sauf si leurs enfants sont déjà homosexuels…Certains de ces prêtres étrangers ont perdu leur vocation en Europe en épousant les femmes; d’autres vivent sans paroisse, sans ressource et sans papiers…La riposte catholique est silencieuse sur le sujet! La force de l’islam c’est la solidarité; la faiblesse des catholiques c’est la BËTISE…Au nom de la Bêtise on détruit la vocation d’un séminariste, d’un prêtre, d’un évêque…Quelle misère morale?

  4. TD dit :

    M Jean Bosco vous plaisantez ?
    Jean XXIII un saint ?
    C’est Jean XXIII qui imposa au concile les théologiens hérétiques tels que Congar, Rahner, Chenu, de Lubac, Kung, Schillebeeckx etc
    On sait très bien que ce pape n’avait rien d’un saint même à titre personnel.
    Avec ces fausses canonisations à la chaine des papes conciliaires ce qu’ils veulent c’est canoniser Vatican II.

  5. Courivaud dit :

    Oh là!
    Ce pape est toujours vivant et de plus, il s’accroche au pouvoir.
    Cela ne sert à rien de tirer des plans sur la comète et d’ailleurs cette façon journalistique de procéder est peu charitable.

    De toute façon, il n’y a plus de gouvernement dans L’Eglise de ce temps.
    Il serait plus intéressant de réfléchir à une restauration du principe d’autorité et en un temps de dictature sanitaire galopante de réaffirmer un Magistère qui puisse guider des fidèles passablement déboussolés et à qui il faut donner plus que jamais l’héroïcité des vertus et inspirer le rejet de la corruption des prélats actuels manquant à la mission confiée à eux par Jésus Christ.

  6. Jean Bosco dit :

    En Jésus-Christ il n’y a point d’hérétiques, ni de croyants ni de païens, ni d’hommes libres ni d’esclaves…il n’y a plus que le Christ car il est “tout en tous”. Lire sur le sujet Saint Paul, Origène et Thomas d’Aquin…

  7. fg dit :

    Cet article est très clairvoyant. En particulier, il souligne que les dérives consécutives à Vatican II (liturgiques par exemple) sont bien l’oeuvre de pasteurs formés avant Vatican II. A ce propos, quelques témoignages comme ceux de Michel de Saint-Pierre sont éloquents: le retour en arrière n’est pas réaliste.
    Que le prochain pape ne se mette pas en avant en pérorant sur des questions idéologiques, mais qu’il rappelle le dessein de Dieu pour chacun, la charité, et la vocation surnaturelle de l’homme, ce sera déjà un progrès: