En Une

Réunion des communautés traditionnelles à Courtalain

Commentaires (7)
  1. DUMAS dit :

    Enfin, les Catholiques traditionnalistes ont compris que l’union fait leur force; il serait souhaitable que la Communauté St PIERRE se rapproche, dans la tourmente actuelle, de la Fraternité St PIE X…

  2. Le fruit de cette rencontre est un appel au dialogue, s’appuyant fermement sur Amoris Laetitia.

    Bon, on peut toujours y croire : un référent des évêques pour dialoguer ? Une Commission ? Un synode ?

    Quelles seront les nouvelles fourches caudines ? Ils demandent du temps, mais celui-ci joue contre eux…

  3. Robert dit :

    On peut raisonnablement envisager la réciproque, la FSSPX manifestant sa différence avec les instituts qualifiés de “ralliés” par elle. Que la FSSPX manifeste sa fraternité avec tous les autres instituts serait un grand signe de communion dans la vérité.

  4. TD dit :

    M Robert je vous rappelle que les communautés “ex ecclesia” ont été crées en 1988 par des prêtres qui se désolidarisaient de Mgr Lefebvre. La Fraternité St Pie X ne partage pas leurs opinions sur le concile Vatican II ni sur la nouvelle messe.
    Il est difficile de manifester une solidarité avec des gens qui depuis 1988 traitent la Fraternité St Pie X de “schismatique” alors qu’ils lui doivent son existence.
    Quand on voit ce qui se passe on voit que Mgr Lefebvre avait raison de ne pas faire confiance à la Rome moderniste qui n’avait et n’a toujours un désir : anéantir la Tradition.

  5. Pierre Mary de Montamat dit :

    à Robert : je ne comprends pas très bien. La FSSPX dénonce le ‘piège’ ecclesiadéiste depuis le début. En se basant précisément sur ce que François exige des ralliés : nouvel ordo et Vatican II. Vous voulez qu’il se passe quoi de plus ?

    Je crois que les communautés FSSPX et sa mouvance accueillent avec charité les fidèles déboussolés : que faire d’autre ?

  6. Bruno ANEL dit :

    Je peux comprendre le désarroi des prêtres des communautés traditionnelles : ils risquent de se retrouver sans troupeau puisque le motu proprio encadre strictement la création de nouveaux groupes. Mais un prêtre est ordonné pour un peuple, pas pour une portion (congrue) de ce peuple. S’adapter aux besoins pastoraux nécessiterait peut-être pour eux d’accepter de célébrer dans les deux rites. Serait-ce un si grand sacrifice ?

  7. Antonio dit :

    Où peut-on retrouver l’intégralité de cette lettre ? Merco