En Une

Paris: retour sur le colloque “quel avenir pour la messe traditionnelle ?”

Commentaire (1)
  1. Marcus dit :

    L’abbé Barthe, l’abbé Celier. J’ai entendu parler de Jeanne Smits. Je suppose que Jean-Pierre Maugendre, organisateur, était là aussi. Forte connotation “hommes en noir” par conséquent. Luc Perrin est venu de Strasbourg. Il ne reste plus à Philippe Maxence qu’à l’inviter à une prochaine émission. Par exemple sur le thème de la “grande pornocratie” dont l’abbé Pagliarani dit qu’elle infecte aussi l’Eglise. Ce genre de meetings était courant avant Summorum Pontificum. Leur grande prêtresse en était Marie-Alix Doutrebente, qui a depuis disparu des radars. Comme vous le dites, la pression est retombée et les jeunes doivent se remettre dans l’ambiance. Saint-Pierre, Grici, la Miséricorde, on connaît. La nouveauté, l’inconnue, ce sont les diocésains qui ont goûté au tradi. Vont-ils rentrer dans leur coquille ? L’abbé Celier pourra leur procurer les livres de base comme le Bref Examen Critique ou J’accuse le Concile, de Mgr Lefebvre. Sera-ce suffisant ? L’Eglise a le temps, dit l’abbé Barthe. Peut-être pas tellement que ça. Et puis, les héros de la prise de Saint Nicolas, du Comité Sainte Geneviève d’Argenteuil, de Port-Marly, de Saint Germain l’Auxerrois (hélas !), de Niafles, et j’en oublie, sont, soit morts, soit vieux, soit fatigués, soit démotivés. Place aux jeunes regonflés. Exsurge Domine, non praevaleat homo!