Summorum Pontificum

Jean-Pierre Maugendre répond à Mgr de Sinety

Commentaires (5)
  1. Père Gruber dit :

    Puis-je rappeler que le Bref examen critique ne vise que la première édition du Missale Romanum de Paul VI, et surtout les introductions? Suite à ce Bref examen, l’édition suivante a été immédiatement corrigée par ordre de saint Paul VI. Le Cardinal Ottaviani, toujours cité à côté du Card. Bacci, a explique aussi comment il avait “signé”, aveugle qu’il était, ce Bref examen… Tout cela n’est guère glorieux ni honnête.
    Pour autant, très intéressante analyse de M. Maugendre (merci!), en réponse à un prêtre qui fait honte, même s’il est “mgr”… D’ailleurs, ce titre n’est-il pas attaché à sa fonction de Vicaire général qu’il n’a plus (le titre est alors perdu, désolé)? A moins qu’il l’ait reçu personnellement du SP François?

  2. Coquille : Mgr de Sinéty s’appelle Benoît et non Emmanuel !

  3. Bellessort dit :

    La Question de Démarches Synodales diocésaines est essentielle Quelle Paroisse a t’elle interrogé Anonymement son 1er Cercle de Paroissiens habituels et son 2nd cercles Paroissiens Ponctuels,Occasionnels ? AUCUNE On a entendu que le Groupe habituel dont beaucoup de Femmes, souvent au même profil, frustrées de ne pouvoir être Consacrees Prêtres ou Diacres Pour autant aucune ne fait la démarche de devenir Oblates d’un tiers ordre .
    Ces Synodes n’ont souvent qu’un but Officialiser des Déviances, Lever des interdits qui ne sont souvent plus respectés .
    Le Pape n’est pas seul en cause Très certainement il y a lieu de mettre en cause un Groupe autour de lui dont sans doute la mouvance activiste Jésuite

  4. Pitoune dit :

    Le jour où l’on se décidera à enquêter sur l’appartenance du clergé à la franc-maçonnerie et que l’on appliquera le droit canon d’avant 1988, toutes ces questions n’auront plus lieu d’être et l’Eglise redeviendra l’Eglise du Christ.

  5. DALIB dit :

    Fidèle de la messe selon la forme post conciliaire, je dois reconnaitre n’avoir jamais eu de crise d’urticaire en assistant à une messe selon la la forme tridentine, je ne peux en dire autant des nombreuses messes conciliaires où j’ai pu compter sur les doigts d’une main les paroles de l’ordinaire de la messe qui avaient été prononcés correctement (Cela se réduisait parfois aux seules paroles de la consécration et au Notre Père, ce dernier étant chanté sur un air joyeux qui donne plus envie de danser plus que de prier, alors qu’on y demande le pardon des pêchés et la protection contre la tentation et le mal. Le crédo était parfois remplacé par un affligeant “je crois en dieu qui chante et qui fait chanter la vie” où notre rédemption par la mort et la résurection du Christ était absente et avec un triste paradoxe : les paroles joyeuses du refrain chanté sur un air ce terminant en triste decrescendo. Une seule réforme me parait pertinente dans le missel de Paul VI , mais elle est de taille : le nouveau propre du jour qui nous permet d’entendre la quasi totalité des quatre évangile, 70% du nouveau testament et 30 % de l’ancien. Ce sont les seules parties de la bible que je connais hormis de rare lecture personnelle. Une célébration digne et conforme à la Tradition est possible en utilisant le missel de Paul VI, mais seulement sous condition de s’abstenir de l’excès de liberté par trop permis par des normes devenus trop laxistes et imprécises. Il est incompréhensible de permettre n’importe quoi sauf ce qui était obligatoire jusqu’en 1965.