Summorum Pontificum

Dernier numéro d’Una Voce (342)

Commentaire (1)
  1. Paul BONNEAU dit :

    Très intéressant. On aimerait écouter une exécution fidèle à ce qui est préconisé ici.

    Pour ma part, je suis lassé du concourt de puristes dans le grégorien. L’intériorité est souvent sacrifiée sur l’autel d’une authenticité auto-proclamée.

    C’est le point le plus important de l’article : Trop de lenteur épuise au risque de massacrer la pièce. Trop d’impétuosité fini en vocalises mozarabes. Nous ne sommes pas des muezzin ! J’ai entendu aussi des interprétations mécaniques, souvent par des musiciens formés par le conservatoires classiques.

    Une fois de plus, la vertu d’obéissance est un guide. N’inventons pas notre propre méthode. Mettons nous à l’école des moines et de quelques chantres ayant prouvé leurs qualités spirituelles, humaines et techniques.

    Il y a également, une forme de “sensus gregoriani”. Les foules ont leurs manière de chanter le commun et certains tropes. On n’y changera pas grand chose. Certaines infidélités populaires à la partition sont peut-être plus authentiques que le plus fidèles des triplex.

    Merci pour le partage et bravo Una voce !