Divers Jeanne smits

Empêchés d’accueillir des enfants pour cause de principes moraux, ils ne feront pas appel…

Commentaires (3)
  1. fino dit :

    Quelle logique ! vous plaignez cette famille qui ne peut plus accueillir d'enfants (alors qu'elle le faisait depuis 20 ans) parce qu'elle pensait différemment, mais vous vous réjouissez qu'un prêtre argentin soit révoqué et viré du foyer où il vivait (depuis 27 ans) parce qu'il… pensait différemment !

  2. Anonymous dit :

    En effet, fino!
    Chez Mme Smits, les seules souffrances inadmissibles sont celles de gens qui pensent comme elle. Les autres peuvent mourir!
    J'ai encore le souvenir de la fois où elle m'a répondu “qu'il était préférable pour une mère de mourir plutôt que de vivre en sachant que pour ça, elle avait dû tuer son enfant”!
    Allez comprendre leur logique!
    Maxou

  3. Jeanne Smits dit :

    @ Fino. D'abord, je ne me réjouis pas de ce que ce prêtre dont je n'ai pas à mettre en doute la bonne volonté soit privé de son lieu d'habitation Reste que dans toute entreprise, dans toute société, dans toute association, ne plus adhérer à ses principes et se refuser à cesser de présenter comme venant d'elle conduit assez logiquement à l'exclusion, et à mon avis plus vite. A fortiori dans l'Eglise qui a une doctrine claire et qui a un devoir d'enseigner cette doctrine : si l'on n'est plus d'accord, pourquoi vouloir à tout prix y rester et bénéficier de ses infrastructures ?

    Pour ce qui est de la famille, le problème n'est pas qu'elle “pensait différemment” mais qu'elle restait attachée à une vision traditionnelle de l'homme et de la famille qui n'a été bouleversée que depuis quelques dizaines d'années, et qui est désormais rejetée par une petite minorité imposant ses vues de manière tyrannique.

    Mais je doute que nous puissions discuter puisque vous partez – je pense – de l'idée que la vérité n'existe pas ou ne peut pas être connue.

    @ Maxou. La souffrance est hélas notre lot commun d'humanité et il n'y en a pas de plus “admissibles” ou “inadmissibles” que d'autres.

    Pour répondre à votre deuxième observation : je crois en tant mère que c'est une souffrance psychologique quasi impossible à porter que de savoir qu'on a la responsabilité de la mort de son propre enfant.

    Quand le Christ affirme qu'il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis, on n'est certes pas dans la dureté inhumaine ! C'est une perfection qui exige justement une conscience aiguë des souffrances d'autrui. Je ne prétends pas en être davantage capable que vous, mais le Christ peut nous en donner la grâce.