Commentaires (2)
  1. Denis Merlin dit :

    On peut observer que se mettre à genoux ou non dépend de la liberté de conscience dès lors que la discipline n’interdit pas l’une ou l’autre des manières de se présenter devant Jésus qui est donné au communiant avec “son corps, son âme, et sa divinité”.

    Qu”est-ce que c’est que ces manières de vouloir imposer une attitude de relation à Dieu ?

    Pour qui se prennent-ils ?

  2. Jean-Paul Viaud dit :

    EXAMINEZ toutes choses… RETENEZ CE QUI EST BON – 1Thess. 5: 21

    L'”ancien” n’a pas de valeur par le simple fait de son antiquité (quoique en pensent certains “intégristes”.Le neuf qui n’a d’ailleurs aussi pas de valeur du fait de sa nouveauté (quoiqu’en pensent les “modernistes”).

    Cet ancien, mêlé au neuf perce l’outre l’outre du dépôt de la Foi.

    Méditons les paroles de St-Paul!

    Le dépôt de la Foi s’enrichit avec les siècles, en partant de la Révélation et “en examinant toute chose”

    On pourrait terminer la phrase de Saint-Paul en disant que ce que l’Église “retient” à travers les siècles, sous la houlette de l’Esprit Saint, c’est la Tradition. C’est ce que ne comprennent pas ni les intégristes ni les modernistes.

    La forme de la communion que le Saint-Père nous rappelle, est le fruit de la Tradition bien comprise. En s’agenouillant devant Dieu (pas son prêtre qui n’est qu’un serviteur!, les anges au Sépulcre nous ont avertis), nous prenons conscience à la fois de la dignité absolue de Dieu et de la réalité de sa Personne!