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Réforme de la réforme : les propositions de Mgr N'Koué

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Commentaires (5)
  1. fauche gérard dit :

    Imaginez deux secondes les mêmes réflexions faites par un évêque en France, dans son diocèse…
    Il serait traité d’intégriste alors que ce n’est rien de plus que l’application des normes liturgiques de la forme ordinaire et celles de Vatican II (sacrosanctum concilium).
    Merci Monseigneur pour cette herméneutique de la continuité liturgique !
    Puissiez-vous faire des émules en France très bientôt…

  2. Kris Vancauwenberghe dit :

    Quelles normes? Le principal probleme du NOM est justement qu’il est un non-rite en forme de rite.

  3. gérard fauche dit :

    Cher monsieur, je vous invite à lire les rubriques de la forme ordinaire car elles existent !
    Ce n’est pas parce qu’elles ne sont pas appliquées ou qu’elles le sont mal, qu’elles n’existent pas !
    Il y a des normes, même dans la forme ordinaire…

  4. Kris Vancauwenberghe dit :

    Cher Gérard, j’ai lu cela et je le connais bien. J’ai lu aussi une grande partie du travail de la commission cornaquée par Mgr Bugnini. Si le missel a été accompagné d’une “institutio generalis”, c’est justement parce que Mgr Bugnini, le P. Braga et Mgr Wagner (pour ne citer que les principaux) souhaitaient se débarrasser du terme affreux de “rubriques”. Il y a donc des articles de l’IGMR mais il n’y a pas de rubriques. C’est très clair dans l’esprit de ses créateurs, et votre tentative de faire dire aux choses le contraire de ce qu’elles disent elles-mêmes être montre bien le côté pathétique des tentatives de sauvtage du concile.

  5. fauche gérard dit :

    appelez-cela “articles” si vous voulez et convenez qu’il existe des règles tout de même dans la forme ordinaire.
    Elles ne sont pas aussi précises et pointues (sans sens péjoratif) que dans la forme extraodinaire mais il y a des normes de la célébration.
    Et si quelqu’un ouvre l’ordo missae de la forme ordinaire (en latin), que découvre-t-il ? Des “rubriques”, comme dans celui de la forme extraordinaire.

    Enfin, une question un peu polémique mais nullement méchante :
    qu’est-ce qui est plus pathétique : défendre un Concile (et donc le Magistère) de l’Eglise ou s’ériger en juge d’un Concile et se croire plus sage que l’Eglise ?
    Sans rancune.
    Juste par souci de la vérité et donc par charité fraternelle.