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Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe : adoption du rapport Gross sur les droits homosexuels

Commentaire (1)
  1. Denis Merlin dit :

    Ce terme de “droits homosexuels” semble nier les “droits des homosexuels”, c'est-à-dire les droits de l'homme. Ce terme est absurde, un droit est une notion abstraite totalement asexuée. Ce terme témoigne d'un grand désordre mental.

    “si ces exceptions sont compatibles avec à la Convention européenne des droits de l’homme, telle qu’interprétée par la Cour européenne des droits de l’homme.”

    Ainsi la liberté d'expression et la liberté religieuse sont dominées par une doctrine légale et judiciaire qui deviennent dogmes obligatoires.

    C'est la négation de la liberté religieuse par l'institution d'organes doctrinaux humains. C'est en conséquence la négation de l'égalité fondamentale des êtres humains (certains ont droit à voir leurs opinions protégées, d'autres non).

    On retrouve la même idée lorsque les médias reprochent aux partisans de la vie, de critiquer une “loi de la république” qui, dès lors, acquiert un caractère sacré, dogmatique au détriment de la liberté de pensée et d'expression.

    Le relativisme, par un paradoxe bien connu, est dogmatique et il aujourd'hui conduit au totalitarisme.

    Ainsi, selon l'OCDE dans l'ordre “juridique”, il a ses interprètes authentiques qui imposent leurs opinions aux populations.

    Alors que les droits de l'homme découlent de la nature de l'homme en dehors de laquelle, il n'y a que servitude.

    Et il résulte de la nature humaine qu'elle est sexuée (“Homme et femme il les créa” Gn 1,27) et que c'est une donnée résultant d'un appel à l'existence dans un être d'un certain sexe, car nous n'avons pas demandé à vivre.

    Ainsi les droits de l'homme entendus à la manière de l'OCDE se retournent contre l'homme et contre ses droits naturels, donc contre ses devoirs.

    Les droits de l'homme, notamment ses libertés (ce qu'il en reste) sont en grand danger.