Jeanne Smits

Un évêque espagnol accusé de justifier le viol sur les femmes ayant avorté

Commentaire (1)
  1. e dit :

    Ceux qui ont perdu les élections, même si la victoire du Parti Populaire (dit de droite!) en nombre de bulletins est loin d’être éclatante, ont repris de plus belle la guerre “culturelle” pour que les “nouveaux droits” qu’ils avaient imposés avec malheureusement souvent la passivité et l’indifférence, face aux militantismes d’un petit nombre, continuent à perdurer.
    La désormais opposition a tout à gagner sur ce terrain, puisque sur l’autre ils ont été désavoués. Cette calomnie n’a pas été faite par hasard.
    Les premiers chrétiens étaient accusés de manger leur dieu et de noyer leurs enfants nouveaux nés…Et tant de choses encore.
    Sans parler des bonnes soeurs qui en 1936 étaient accusées de distribuer des bombons empoisonnées! Ah si tous les évêques hors Espagne pouvaient parler aussi fort et vrai que ceux d’Espagne et dans ce cas particulier de Mgr Martínez! Mais cette affaire fait que les paroles de l’archevêque de Grenade vont pouvoir être redites haut et fort, c’est donc peut-être finalement une bonne chose que cette calomnie-là, même si elle apparaît sur les circuits francophones peu de temps avant la marche pour la vie de Paris. Le hasard n’existe pas!