Les catholiques et les élections

Le curé de Greenville à ses ouailles : ceux qui ont voté pour Obama doivent se confesser avant de se présenter à la Communion

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Benoît XVI et Pie XII
Commentaires (4)
  1. AUCHER Jean Paul dit :

    Clair, net, précis et si vrai, je rapproche cette déclaration du dernier message du blog le rosaire qui remet en ligne le document (insoutenable) montrant la réalité du crime d’avortement.
    Ces électeurs n’imagineraient pas voter pour la bête immonde nazi, et pourtant la culture de mort qu’ils cautionnent a tuée plus d’innocent encore.
    Ne cessons pas de prier pour que la grace de DIEU change leur coeur !
    Merci pour votre site si utile par le point de vue extra-hexagonale que vous donnez!

  2. Yves dit :

    Je crois qu’il faudra un très long travail d’éveil et d’éducation des consciences, d’abord et avant tout chez les catholiques  guidés par de vrais pasteurs courageux et soucieux de transmettre la saine doctrine de l’Église sur le respect total et inconditionnel de toute vie humaine, de sa conception naturelle à sa mort naturelle.
    Prions pour que l’Esprit Saint, par l’intercession de la Vierge Marie, suscite de plus en plus ce que Jean-Paul II appelait «des hommes de conscience».

  3. Castille dit :

    Comment juger de la sincérité d’une telle confession? Ces gens ne referaient-ils pas exactement pareil s’ils devaient le faire? Maintenant que la “mou-pensée” leur a mis dans la tête qu’avorter  ou soutenir l’avortement n’entrainait aucune conséquence sur le salut de leur âme? Nous avons lu récemment sur Americatho le représentant des catholiques-démocrates trouvant “contre-productif” le comportement des évêques catholiques pro-vie et qu’ils risquaient de se séparer de leur ouailles. Il est vrai également que l’humain est perfectible. Mais on peut voir que certains bradent leur religion pour une représentativité douteuse.

  4. Anne-France dit :

    Le diocese de ce cure de Greenville vient de punir cet abbe pour sa declaration. Quelle honte! Pour une fois qu’un pretre disait ce qu’il fallait dire.