Jeanne Smits

Enseigner que l’avortement est un mal, c’est de la misogynie

Article précédent
2 504 et 2 504…
Commentaires (2)
  1. jpr dit :

    Proférer de telles bêtises ! Refuser le réel, croire en ses fantasmes et les imposer à tous ! Vraiment, Laurel est hardie ! (mais ici ce n’est vraiment pas comique).
    Quant à ce mode de pensée, voilà ce qu’en disait Bossuet : “Le pire des dérèglements de l’esprit, c’est de croire que les choses ne sont pas ce qu’elles sont, mais ce que l’on voudrait qu’elles soient. “

  2. c dit :

    Et encourager les hommes à user des femmes à qui ont à fait croire qu’elles étaient libres en prenant la pilule (ou tout autres moyens contraceptifs) et a défaut l’avortement au cas où, c’est du féminisme.
    Belle inversion des valeurs. Cette pauvre femme se rend-elle compte de l’incohérence de ces propos (ou plutôt de sa cohérence pour le meilleur profit du capitalisme dévoyé: industrie pharmaceutique et des avortoirs, voire même des pensées politiques eugénistes, la non reproduction des couches populaires et de certaines catégories de personnes aux EU – population noire notamment, la plus touchée par le fléau des avortements – mais ce genre de théorie n’est pas nouvelle…).