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La CEF craint plus les blogues que les profanations

Commentaires (8)
  1. messager dit :

    Vous avez raison de le souligner .
    Marre de faire la politique de l’autruche ,marre de marcher dans le même sens que les politicards et des journaleux
    Chacun de nous sur terre a droit au respect de ses convictions aussi bien religieux que laïques croyants ou incroyants

  2. c dit :

    “Je n’ai pas pu déposer plainte pour le motif de profanation car c’est uniquement réservé aux tombes et je le regrette, nous vivons dans un monde où il n’y a plus rien de sacré”.
    dixit tout récemment le curé de l’église de St Rambert à Lyon, en parlant d’un tabernacle brisé et les habituels actes d’incivilité, comme à la chapelle de la Base Navale de Toulon…
    Votre article est tout à fait juste. Merci de le dire et vivent les blogues et internet (pour le meilleur même s’il y a aussi le pire) : la cité de Dieu.

  3. Olivier dit :

    L’article mentionne que l’association « Croyances et libertés » est souvent déboutée ; mais este-t-elle souvent ? Nous n’en ouïssons jamais rien, en tout cas.

  4. clem dit :

    Il me semble que la montée de ces violences nous montre à nous catho qu’il est urgent qu’on se bouge plus pour l’évangélisation et pour mettre plus encore en pratique l’évangile afin que nous réagissions comme le ferait le Christ; que nous soyons réellement lumière pour ce monde et en apaisons les tensions toujours croissantes

  5. Denis Merlin dit :

    IL faudrait que la CEF mette ses fiches à jour. La destruction ou dégradation, quelle qu’en soit les mobiles, de lieu de culte est sévèrement puni par le Code pénal :

    Article 322-3-1
    Créé par LOI n°2008-696 du 15 juillet 2008 – art. 34
    La destruction, la dégradation ou la détérioration est punie de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende lorsqu’elle porte sur :

    ° (…) un édifice affecté au culte ;

    Les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et 150 000 € d’amende lorsque l’infraction prévue au présent article est commise avec la circonstance prévue au 1° de l’article 322-3.

    Mais ces questions juridiques ne sont pas comprises. Ou alors “on” fait semblant de ne pas les comprendre en prétendant que seules les tombes sont protégées.

  6. Pas tous mais les vassalisés au progressisme et au politiquement correct, ces épiscopes et au moins un cardinal ne porteront plus la couleur rouge ou violette de peur qu’on les saigne. Pas de signe distinctif il ne faut pas être trop visible. À Marseille il y a un jésuite relativement jeune qui porte chemise ou autre t shirt de couleur, mais surtout pas de col romain et nul croix afin de ne pas offenser les musulmans et un autre qui est respecté des musulmans car lui il porte son bleu de travail, sa soutane. Rétro? non on le reconnait et l’on sait qu’il est prêtre, un alter Christus dont il n’a pas honte.

  7. C.B. dit :

    La place Beauvau a beau jeu de se retrancher derrière l’excuse “à vrai dire, les responsables de la communauté chrétienne ne nous ont jamais fait part de la nécessité d’un indicateur spécifique”
    C’est simple: il n’y a pas d’indicateur spécifique – pourquoi? parce que ce n’est pas nécessaire – pourquoi? parce qu’il n’y a pas d’indicateur spécifique. Chez les cadres de la fonction publique, on a une longue expérience de ce genre de cercle vicieux.
    La CEF devrait tenter une expérience: dans le fléchage des dons (modèle: le diocèse de Toulon, hélas pas réalisé pour chaque diocèse) prévoir une flèche vers “lutte contre les manifestations anti-catholiques: information sur les “incivilités” à l’encontre des lieux de cultes, financement des actions en justice nécessaires, …” C’est un poste sur lequel je contribuerais certainement.

  8. Melmiesse dit :

    Jésus Christ n’avait pas choisi ses apôtres parmi les mauviettes: Jacques et Jean les fils du tonnerre; Pierre qui dégaine son épée à Gethsémani ; Mathieu habitué à percevoir des impots impopulaires…On imagine leurs réactions face aux dégradations des lieux saints. Pour la nouvelle évangélisation, que ceux qui se sentent agressés relisent les évangiles