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L’église LGBT de Londres passe à l’Ordinariat anglican

Commentaire (1)
  1. JACQUES-FRANCOIS dit LOCARD dit :

    Bonjour,

    Et si l’on parlait du véritable Amour!

    De l’ « AMOUR. »
    De quel amour parle-t-on lorsque nous disons : -Puisqu’ils s’aiment, pourquoi ne les marierions-nous pas ? En parlant du « mariage » des paires.
    Pourquoi ? Pourquoi sommes-nous foncièrement contre ? Tout simplement parce que là, il s’agit d’un amour diabolique, où la chair prend le pas sur l’esprit. Il concerne l’ »amour » que nous pouvons qualifier d’amour Eros. C’est-à-dire de celui qui tire jouissance de la relation à l’autre. Il est typiquement charnel. Il a pour but d’assouvir les pulsions sexuelles, et finalement, ne laisse qu’un goût amer et même un dégoût, lorsqu’il est assouvi.
    Nous ne pouvons même pas le qualifier d’amour philéo., puisque lui est de l’ordre de l’humain. Que l’on peut également désigner sous le vocable d’amour-amitié. Lui, se satisfait du bien-être que l’on trouve avec l’autre. Il ne peut, en AUCUNE façon être d’ordre charnel.
    Et enfin, l’AMOUR, avec un grand A, ou encore nommé charité, mais ce mot et tellement déprécié, qu’il est préférable de ne pas l’employer. Cet Amour est de l’ordre de l’Amour divin. Qui Lui est l’Amour Agapè. L’Amour don de soi, le seul Amour vrai, celui dont nous aimé Notre Seigneur JESUS-CHRIST, en acceptant de mourir sur une croix, par Amour de l’humanité souffrante. L’Amour dont aime l’homme le Père céleste !
    Celui qui va jusqu’à aimer ses propres ennemis.
    L’Amour, dont seul l’ESPRIT-SAINT peut nous révéler sa teneur. L’Amour que saint Paul nous dévoile quand il nous livre le fruit de sa prière et de sa méditation, qui se trouve dans le chapitre XIII de l’Epître aux Corinthiens :
    « Quand je parlerais les langues des hommes et celle des anges, si je n’ai pas l’Amour, je ne suis qu’un airain qui sonne ou uns cymbale qui retenti. Quand j’aurais le don de prophétie et connaître tous les mystères et toute la science, quand j’aurais la plénitude de la Foi, une Foi à transporter les montagnes, si je n’ai pas l’Amour, je ne suis RIEN.
    L’Amour est longanime (Patient) ; l’Amour est serviable ; il n’est pas envieux ; l’Amour ne fanfaronne pas, ne se rengorge pas ; il ne fait rien d‘inconvenant (malhonnête), ne cherche pas son intérêt, ne s’irrite pas, ne tient pas compte du mal ; il ne réjouit pas de l’injustice, mais il met sa joie dans la Vérité. Il excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout.
    L’Amour ne passe jamais, les prophéties ? Elles disparaîtront. Les langues ? Elles se tairont. La science ? Elle disparaîtra. Car imparfaite est notre science, imparfaite aussi notre une prophétie.
    Quand donc viendra ce qui est parfait, ce qui est imparfait disparaîtra. Lorsque j’étais enfant, je parlais en enfant, je pensais en enfant, je raisonnais en enfant ; une fois devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.
    Aujourd’hui, certes, nous voyons comme dans un miroir, d’une manière confuse, mais alors ce sera face à face. Aujourd’hui, je connais d’une manière imparfaite ; mais alors je connaîtrai comme je suis connu. Bref, la Foi, l’Espérance et l’Amour demeurent toutes les trois, mais la plus grande d’entre elles, c’est l’AMOUR.
    Maranatha !
    Merci !
    JFL