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Effondrement du latin : le constat lucide et le vœu du directeur de Homiletic & Pastoral Review

Commentaires (3)
  1. ema dit :

    Du plaisir de la messe en latin!

    Et pourtant quand on a fait du latin au lycée jusqu’au bac, même pour un bac passé récemment, le latin de la messe est jouissif car beaucoup plus facile à comprendre que les auteurs classiques! On se sent devenir bon élève (Mais c’est vrai cela aide un peu d’avoir déjà pour langue maternelle une langue d’origine latine).
    Bref vive le latin et espérons!

  2. Perpétue dit :

    Cher monsieur Hamiche,
        Votre regard pourrait se diriger aussi vers la province de Québec…
    Quant aux messes en langue vernaculaire, c’est-à -dire en français en ce qui me concerne, je crois que j’en serai bientôt privée, car je me trouve régulièrement aux grandes fêtes à des messes bilingues (espagnol-français ou italien-français), ce qui n’est pas très agréable, quand ce n’est pas carrément à une messe entière en langue étrangère (pour moi). Ce serait tellement plus simple si la messe était en latin partout! De messe en latin dans ma ville, il n’y en a qu’une, le dimanche à une heure plutôt difficile pour les familles.

  3. Boris dit :

    Ce serait un signal fort pour le retour du latin si le pape ordonnait à tous les séminaristes se formant au sacerdoce catholique de devoir apprendre à célébrer la Messe en latin.

    Il faudrait le P. Baker lise l’instruction de 1965 (donc post-conciliaire) “Doctrina et Exemplo”.
    Au n°15, il est spécifié que la forme ordinaire de la liturgie dans les séminaire doit être célébrée en latin, le vernaculaire étant une exception à la règle.

    Et dans le même document, au n°4, dernier paragraphe, il est dit que le non-respect des normes liturgiques entrainant la perte du caractère liturgique d’une célébration !

    UdP,
    Boris Maire