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Le dynamisme de la Cté Saint-Martin, complémentaire à la crise des diocèses

Commentaires (4)
  1. BERTRAND dit :

    “Erfolg is keiner des Namen Gottes” = “Succès n’est pas l’un des noms de Dieu” est uen phrase du philosophe juif bohémien (je crois) Martin BUBER

  2. Friess (abbé) dit :

    Chers amis,
    merci de ne pas me proposer à chq connection de m’inscrire à la lettre du jour à laquelle je suis inscrit depuis longtemps et que je lis avec bcp d’interet. Je vous remercie de tenir compte de ce courrier et surtout un grand merci pour le contenu de vos messages. UDP. abbé FRIESS

    1. @(abbé) Friess
      Nous sommes désolés de cette gêne, mais nous ne pouvons pas y changer grand chose. Le système mis en place ne permet pas – heureusement… – de savoir si l’IP de la personne qui se connecte est ou n’est pas abonnée à la “Lettre de nouvelles”…

  3. karr dit :

    Depuis 30 ou 35 ans combien de communautés ont-elles vu le jour en France?
    Combien ont connu leur heure de gloire et à présent sont déjà sur le déclin!
    Depuis sa fondation la Cté St-Martin n’a-t-elle pas déjà vu partir un certain nombre de prêtres,soit pour une incardination dans un diocèse,soit tout simplement pour quitter le ministère?
    Si l’exepérience n’est pas mauvaise ,bien qu’encore récente,elle se devrait de servir d’exemple à d’autres fondations limitées,pourquoi pas , aux limites d’un diocèse ou d’une province ecclésiastique.
    Tous les prêtres ne sont pas appelés à la vie communautaire et à des changements d’affectation en dehors de leur diocèse.
    L’Abbé Guérin ,fondateur de la Cté St-Martin, était originaire de Touraine,est-il necéssaire de rechercher une autre raison à l’appellation de cette communauté?
    Sociologiquement le recrutement à St-Martin est très marqué,peu ou pas de séminaristes issus des classes moyennes de la société,il en est de même des personnes liées d’une façon ou d’une autre à cette communauté.
    Ou sont les oeuvres caritatives qui caractériseraient cette société de prêtres séculiers en dehors du nom et de la devise”Charitas”?
    La moyenne-d’âge des candidats,bien souvent des ados, peut également surprendre et laisser à penser que la crise de la cinquantaine soit ,dans l’avenir,ramenée à la quarantaine.
    Cette présentation , trop flatteuse à mon gout ,gagnerait à être plus modeste et à encourager les évêques par l’exemple à fonder ou réformer les séminaires,St Martin pas plus qu’une autre communauté ne doit être un vivier au service des évêques en manque de prêtres!