Il n’y a pas qu’à Rome que les cardinaux américains ont accepté la “loi du silence”. Ils ont, comme on le sait, supprimé depuis le 6 mars les points de presse où se pressaient des centaines de journalistes – lesquels n’ont dès lors pas grand chose à se mettre sous la dent, à part les rumeurs… –, mais ils ont aussi cessé d’alimenter leur blogues, comme c’est le cas pour celui du cardinal Sean O’Malley, archevêque de Boston (Massachusetts) ainsi que le montre la page vide de son blogue. Tous les cardinaux n’ont pas ce souci de l’obéissance et ce “sens de l’équipe”, notamment chez certains cardinaux italiens…