Le commentaire d’un lecteur normalien que je remercie, et que j’ai fait “monter” hier en article de “une”, m’avait intrigué et j’ai posé à mon correspondant quelques questions notamment sur les affiches mentionnées d’Act Up… Lire la suite…. Il m’a répondu par un long courriel dont j�
L’observatoire de la Christianophobie
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Le “camarade” Daniel Hamiche, au demeurant ami, est bien jeune : il fait remonter l’appellation “tala” aux années 60 : « Depuis, les catholiques sont exclusivement désignés sous le terme (traditionnel il est vrai) de talas [expression des années 60 : ceux qui vont à la Messe – L’Obs], pour éviter confusions et malentendus » écrit-il.
Dans les années 1942-43 les étudiants du Groupe Catholique des Lettres de la Sorbonne (GCL), devenu le Centre Richelieu (aumôniers Père Danielou devenu Cardinal puis l’abbé Charles devenu Monseigneur) fréquentaient assidûment les élèves de la rue d’Ulm, se baladaient notamment sur les toits de l’École Normale, au nez et à la barbe des Allemands, allaient à la messe ensemble (les temps sont changés !) dans la chapelle, et tous ces catholiques, de Sorbonne comme de Normale, étaient appelé “tala”, qui va-t-à-la messe. J’envoie par ailleurs à Daniel Hamichen si je trouve son courriel, reproductions du journal Tala-Sorbonne de février 1955 fêtant le 10e anniversaire : “1945 la nouvelle communauté chrétienne de Sorbonne est fondée”. Je tiens à sa disposition ce numéro spécial 10e anniversaire de huit pages qui, du point de vue historique est d’un grand intérêt. Je précise que dans les années 1946-1948, mon épouse était présidente du centre Richelieu et l’abbé Charles l’appelait « ma petite charnière » (en latin, de façon que nul ne l’ignore, cardo-cardinis, sur quoi prend appui la porte).