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Argentine : des médecins se mobilisent pour un bébé anencéphale

Commentaires (2)
  1. ronron dit :

    Vous avez donc des témoignages et des contre-témoignages.

    Mais le propos est contradictoire… Au début, une mère qui ‘’malgré les conditions dérogatoires prévues par le code pénal argentin, n'avait pas trouvé de médecin disposé à mettre un terme à sa grossesse’‘. Plus bas dans le texte, le cas de la femme simple qui ‘’ malgré les pressions qu'elle et son mari vont subir, refuse l'avortement « thérapeutique » qu'on voudrait presque lui imposer.’‘ Si donc l’avortement était si simple pour la seconde, pourquoi n’était-ce pas aussi simple pour le première? Moi, ça me dit que tout n’est pas très clair…

    Qui peut mesurer les souffrances des uns et des autres? Ce qui est mieux pour l’un ou pour l’autre? Qui peut dire que naître est mieux que ne pas naître et que vivre est mieux que rien? Où va l’enfant qui ne naît pas? L’âme meurt-elle? Qui dit que cette âme ne trouverait pas un corps plus normal à habiter? À quoi peuvent bien servir toutes ces souffrances sinon qu’à nourrir une idée, une vision du monde? Une autre? Et puis, quel Dieu donnerait du vinaigre à l’enfant qui demande à boire? Et quel enfant ne demande pas à boire?

    Deux jolis exemples, dit-on. Mais combien de moins jolis? Sur fond de ce deux témoignages, que peut-on déduire de tous les autres? Pourquoi cette lecture sélective? La vérité nous rendra libres?

    Moi je dis qu’il n’y a de vérité que celle que l’on imagine telle…

  2. ronron dit :

    Vous avez donc des témoignages et des contre-témoignages.

    Mais le propos est contradictoire… Au début, une mère qui ‘’malgré les conditions dérogatoires prévues par le code pénal argentin, n'avait pas trouvé de médecin disposé à mettre un terme à sa grossesse’‘. Plus bas dans le texte, le cas de la femme simple qui ‘’ malgré les pressions qu'elle et son mari vont subir, refuse l'avortement « thérapeutique » qu'on voudrait presque lui imposer.’‘ Si donc l’avortement était si simple pour la seconde, pourquoi n’était-ce pas aussi simple pour la première? Moi, ça me dit que tout n’est pas très clair…

    Qui peut mesurer les souffrances des uns et des autres? Ce qui est mieux pour l’un ou pour l’autre? Qui peut dire que naître est mieux que ne pas naître et que vivre est mieux que rien? Où va l’enfant qui ne naît pas? L’âme meurt-elle? Qui dit que cette âme ne trouverait pas un corps plus normal à habiter? À quoi peuvent bien servir toutes ces souffrances sinon qu’à nourrir une idée, une vision du monde? Une autre? Et puis, quel Dieu donnerait du vinaigre à l’enfant qui demande à boire? Et quel enfant ne demande pas à boire?

    Deux jolis exemples, dit-on. Mais combien de moins jolis? Sur fond de ce deux témoignages, que peut-on déduire de tous les autres? Pourquoi cette lecture sélective? La vérité nous rendra libres?