Divers Jeanne smits

Choisir la vie… en Angleterre

Commentaire (1)
  1. cathosympa dit :

    Voici un commentaire que j’avais laissé vendredi dernier sur e-deo. Je n’avais pas encore lu l’article ci-dessus. Apparemment, je n’ai pas tout faux 1) sur la réticence des médecins à pratiquer l’IVG 2) sur le traumatisme pour la mère. Je soumets ces propos à votre modération :“Déjà en France, le personnel médical (quelles que soient les convictions…) est —parait-il— mal à l’aise de pratiquer des IVG à la 12e semaine et non plus à la 10e car on voit déjà beaucoup plus que “cela” ressemble à un être humain…Car, ceux qui promeuvent l’IVG se gardent bien de dire que l’on peut déceler – horreur nécessaire dans mon propos : – des morceaux de bras, de tête, de jambes… évidemment, ce qui est aspiré ou cureté n’étant pas une tumeur quelconque, mais bien un embryon développé parfois au seuil d’être qualifié foetus…( Je crois savoir qu’à la 11e semaine de grossesse, à l’échographie, on décèle tout ! La tête, la nuque -qui permet de dépister déjà une éventuelle trisomie si la nuque est anormalement large…-, les bras, les 5 petits doigts sur chaque main !, le tronc bien sûr, les jambes… etc. Pourquoi nier l’évidence qu’il s’agit déjà d’un tout petit – même s’il ne fait que 4 cm peut-être ? – homme qui saute et bouge dans sa petite poche à l’abri des agressions extérieures ? )Il semblerait d’ailleurs que la vision de ce qui “sort”, lorsque le médecin renvoie la femme à son domicile pratiquer elle-même son IVG par voie médicamenteuse, traumatise complètement cette dernière. “Traumatise” est un euphémisme.Que dire lorsque l’avortement a lieu à la 18e voire à la 24e ?Je ne suis pas sûr que les femmes en faveur de l’IVG soient averties de ce qu’est réellement l’avortement… “en vrai”. “