Divers Jeanne smits

Encore des questions sur Recife

Commentaires (10)
  1. Henri et Carole Védas dit :

    Merci de revenir aux faits – c’est rafraîchissant – et de ne pas suivre M. de Plunkett sur le terrain irrationnel et ad hominem qu’il semble affectionner actuellement.

  2. Eric dit :

    Dans le contexte de lynchage médiatique, j'ai voulu comprendre. Je me suis aperçu qu'il existait des “contradictions internes” (entre les termes mêmes d'une même depêche) dans plusieurs dépêches à l'origine de l'affaire de la petite brésilienne.Je suis arrivé au texte suivant que je vous soumets :Où en sommes nous un mois après l'IVG du 04 mars 2009. La nature et l'enchaînement des faits sont mieux connus :La mère n'a pas été excommuniée, le Padre Edson Rodrigues (source ci-dessous) explique qu'il n'en a jamais été question.La fillette non plus (qui a pu croire une telle absurdité) ?Mgr Sobrinho a pris la parole publiquement le 03 mars 2009 et non après l'IVG du 04 mars 2009. Le 03 mars 2009, il a rappelé que le droit canon prévoit l'excommunication de facto des professionnels de l'avortement.L'Evêque de Recife, n'a pas été désavoué par la Conférence Nationale des Evêques du Brésil, laquelle a juste constaté que le mère n'avait pas été excommuniée.Les parents ont, l'un après l'autre accepté l'IVG, persuadés par une assistante sociale pro-avortement que leur fille était en danger de mort. La mère, illettrée, à apposé ses empreintes sur un document qu'elle n'a pas su lire le 28 février 2009 et le père s'est laissé convaincre au cours d'un entretien le 02 mars 2009.Après décision judiciaire, la fillette est confiée à l'institut médico légal de Caruara, puis est trimbalée de l'institut médical de l'enfance de Recife à l'hôpital privé du CISAM sur intervention d'une ONG (Curumim) soutenue par l'IWHC (International Women's Health Coalition) promotrice de la légalisation de l'avortement et du droit des femmes..La presse française s'est totalement abstenu d'utiliser les sources brésiliennes cités ci-dessous. Telle qu'elle s'est passé l'affaire est beaucoup moins croustillante qu'il n'y paraissait à première vue à deux détails près : la grossesse à 9 ans et l'aveuglement extravagant de la presse française.Que celui qui ne s'est pas fourré le doigt dans l'oeil sur cette affaire me jette la première pierre.Sources brésiliennes principales : le blog du Padre Edson Rodrigues (http://padreeedson.blogspot.com/) et la déclaration du diocèse d'Olinda et Recife (http://www.arquidioceseolindarecife.org.br/notaoficial.htm) Autres sources découvertes hier soir :http://video.globo.com/Videos/Player/Noticias/0,,GIM978069-7823-ARCEBISPO+DE+OLINDA+E+RECIFE+NAO+EXCOMUNGA+ESTUPRADOR+DE+MENINA,00.htmlhttp://www.cnbb.org.br/ns/modules/articles/article.php?id=580http://www.cnbb.org.br/ns/modules/news/article.php?storyid=1149&keywords=cardoso

  3. Eric dit :

    Rétrospectivement, en lisant les dépêches à l'origine de l'affaire de la petite brésilienne, je me suis aperçu de plusieurs contradictions internes (entre les termes de la même dépêche). J'ai donc rédigé un texte à destination de mes enfants, qu'en pensez-vous ? Où en sommes nous un mois après l'IVG du 04 mars 2009. La nature et l'enchaînement des faits sont mieux connus :La mère n'a pas été excommuniée, le Padre Edson Rodrigues (source ci-dessous) explique qu'il n'en a jamais été question.La fillette non plus (qui a pu croire une telle absurdité) ?Mgr Sobrinho a pris la parole publiquement le 03 mars 2009 et non après l'IVG du 04 mars 2009. Le 03 mars 2009, il a rappelé que le droit canon prévoit l'excommunication de facto des professionnels de l'avortement.L'Evêque de Recife, n'a pas été désavoué par la Conférence Nationale des Evêques du Brésil, laquelle a juste constaté que le mère n'avait pas été excommuniée.Les parents ont, l'un après l'autre accepté l'IVG, persuadés par une assistante sociale pro-avortement que leur fille était en danger de mort. La mère, illettrée, à apposé ses empreintes sur un document qu'elle n'a pas su lire le 28 février 2009 et le père s'est laissé convaincre au cours d'un entretien le 02 mars 2009.Après décision judiciaire, la fillette est confiée à l'institut médico légal de Caruara, puis est trimbalée de l'institut médical de l'enfance de Recife à l'hôpital privé du CISAM sur intervention d'une ONG (Curumim) soutenue par l'IWHC (International Women's Health Coalition) promotrice de la légalisation de l'avortement et du droit des femmes..La presse française s'est totalement abstenu d'utiliser les sources brésiliennes cités ci-dessous. Telle qu'elle s'est passé l'affaire est beaucoup moins croustillante qu'il n'y paraissait à première vue à deux détails près : la grossesse à 9 ans et l'aveuglement extravagant de la presse française.Que celui qui ne s'est pas fourré le doigt dans l'oeil sur cette affaire me jette la première pierre.Sources brésiliennes : le blog du Padre Edson Rodrigues (http://padreeedson.blogspot.com/) et la déclaration du diocèse d'Olinda et Recife (http://www.arquidioceseolindarecife.org.br/notaoficial.htm) http://video.globo.com/Videos/Player/Noticias/0,,GIM978069-7823-ARCEBISPO+DE+OLINDA+E+RECIFE+NAO+EXCOMUNGA+ESTUPRADOR+DE+MENINA,00.htmlhttp://www.cnbb.org.br/ns/modules/articles/article.php?id=580http://www.cnbb.org.br/ns/modules/news/article.php?storyid=1149&keywords=cardoso

  4. Eric dit :

    Où en sommes nous un mois après l'IVG du 04 mars 2009. La nature et l'enchaînement des faits sont mieux connus :La mère n'a pas été excommuniée, le Padre Edson Rodrigues (source ci-dessous) explique qu'il n'en a jamais été question.La fillette non plus (qui a pu croire une telle absurdité) ?Mgr Sobrinho a pris la parole publiquement le 03 mars 2009 et non après l'IVG du 04 mars 2009. Le 03 mars 2009, il a rappelé que le droit canon prévoit l'excommunication de facto des professionnels de l'avortement.L'Evêque de Recife, n'a pas été désavoué par la Conférence Nationale des Evêques du Brésil, laquelle a juste constaté que le mère n'avait pas été excommuniée.Les parents ont, l'un après l'autre accepté l'IVG, persuadés par une assistante sociale pro-avortement que leur fille était en danger de mort. La mère, illettrée, à apposé ses empreintes sur un document qu'elle n'a pas su lire le 28 février 2009 et le père s'est laissé convaincre au cours d'un entretien le 02 mars 2009.Après décision judiciaire, la fillette est confiée à l'institut médico légal de Caruara, puis est trimbalée de l'institut médical de l'enfance de Recife à l'hôpital privé du CISAM sur intervention d'une ONG (Curumim) soutenue par l'IWHC (International Women's Health Coalition) promotrice de la légalisation de l'avortement et du droit des femmes..La presse française s'est totalement abstenu d'utiliser les sources brésiliennes cités ci-dessous. Telle qu'elle s'est passé l'affaire est beaucoup moins croustillante qu'il n'y paraissait à première vue à deux détails près : la grossesse à 9 ans et l'aveuglement extravagant de la presse française.Que celui qui ne s'est pas fourré le doigt dans l'oeil sur cette affaire me jette la première pierre.Sources brésiliennes : le blog du Padre Edson Rodrigues (http://padreeedson.blogspot.com/) et la déclaration du diocèse d'Olinda et Recife (http://www.arquidioceseolindarecife.org.br/notaoficial.htm) http://video.globo.com/Videos/Player/Noticias/0,,GIM978069-7823-ARCEBISPO+DE+OLINDA+E+RECIFE+NAO+EXCOMUNGA+ESTUPRADOR+DE+MENINA,00.htmlhttp://www.cnbb.org.br/ns/modules/articles/article.php?id=580http://www.cnbb.org.br/ns/modules/news/article.php?storyid=1149&keywords=cardoso

  5. Paul dit :

    Je suis moi aussi choqué par le manque de sens de recherche de la vérité de Monsieur de Plunkett. On lui parle du cas très documenté d’une fillette de 5 ans et demi qui a accouché en 1939 au Pérou par césarienne: tant la mère de 5 ans et demi que l’enfant était en bonne santé! La mère a même eu un autre enfant des années après.Et Monsieur Patrice de Plunkett attaque ad hominem, publie l’article proposé sans l’encouragement à vérifier sa véracité par une simple recherche google …Drôle de sens de la recherche de la vérité pour un … journaliste.

  6. Anonymous dit :

    Excellent !Tintoun

  7. Anonymous dit :

    Je ne parle pas le français comme langue maternelle. Voulez-vous dire que l’Église accepte l’avortement dans un véritable cas extrême? Je sais que ce n’est pas le cas, mais ceci est ma limitée compréhension de cette annonce.

  8. jean pierre dit :

    Patrice de PLUNKETT est un journaliste sérieux qui sait ce qu’il dit et n’écrit pas n’importe quoi.J’ai toute confiance en ses affirmations. Il faut bien reconnaître que ce triste évènement a déchaîné bien trop de passions !!!

  9. panouf dit :

    moi, j’ai l’impression que justement patrice de plunkett est dans le vrai, et sur la théologie morale, il a raison… (je l’ai étudiée)

  10. Jeanne Smits dit :

    A anonyme : non, vous avez raison, l’Eglise n’a pas changé sa doctrine sur l’avortement même dans les cas extrêmes. Elle ne le peut pas, même si certaines déclarations intempestives l’ont laissé croire.

    A Jean-Pierre : dans cette affaire, j’ai tâché d’être aussi honnête et précise que possible en citant mes sources d’info. Patrice de Plunkett a allégué des faits dont je cherche en vain confirmation, et il s’est livré à des attaques idéologiques à l’encontre de ceux qui ne partageaient pas son point de vue. Cela dit je suis prête à en discuter loyalement avec lui quand il le voudra.

    A Panouf : pouvez-vous préciser de quoi vous parlez, et sur quel point de théologie morale excatement vous partagez le point de vue de Patrice de Plunkett ?