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Divorcés remariés : le sain réveil de l’opinion publique ecclésiale ?

Commentaires (4)
  1. Courivaud dit :

    bravo pour ce rappel à Pie XII, qui mériterait, pour le sujet que vous traitez et pour bien d’autres, d’être réhabilité… au Vatican pour commencer.

    Merci pour votre article très bien rédigé et présenté.

  2. Shlomo dit :

    ardonneur. C’est bien là, le drame de l’humanisme athée dans sa recherche effrénée d’hédonisme, qui à travers le relativisme, nie Dieu pour nier la « faute » notion insupportable dans la quête narcissique de toute puissance infantile.
    Mais la « faute » n’est pas évacuable du psychisme et rejetant un Dieu de pardon, on ouvre la porte à toutes les tyrannies totalitaires, qui réintroduisent une loi d’airain.
    Shlomo

  3. Shlomo dit :

    Sorry une partie manque. la voilà:

    Le pardon suppose la reconnaissance d’une FAUTE, tant par le pardonné que par le pardonneur. C’est bien là, le drame de l’humanisme athée dans sa recherche effrénée d’hédonisme, qui à travers le relativisme, nie Dieu pour nier la « faute » notion insupportable dans la quête narcissique de toute puissance infantile.
    Mais la « faute » n’est pas évacuable du psychisme, et rejetant un Dieu de pardon, on ouvre la porte à toutes les tyrannies totalitaires, qui réintroduisent une loi d’airain.
    Shlomo

  4. John-Paul dit :

    Si le mariage n’est pas valide il doit être reconnu nul.
    Si le mariage est valide il ne saurait être annulé.
    S’il y a doute ou questionnement, la réponse doit être donnée dans les plus brefs délais. Rien n’est pire que de laisser une personne dans le flou ou l’incertitude.
    Si l’on veut ne pas laisser traîner les questions, un pré-examen par une instance diocésaine qui ferait un premier tri concernant la validité d’une requête, avant de transmettre aux instances romaines, pourrait peut-être, être une solution.