Comme cela avait été communiqué il y a quelques semaines, il a été jugé opportun de suspendre les activités de révision «pour examiner la signification et la portée de certaines clauses du contrat, ainsi que ses modalités d’exécution». Avec PricewaterhouseCoopers, ces éléments ont été soumis à«de nécessaires approfondissements», dans une atmosphère de «sereine collaboration, en résolvant les questions préalablement apparues».
En particulier, il a été reconnu que, par la loi, la responsabilité de la révision comptable est confiée au bureau du réviseur général, comme dans chaque État souverain. La société mènera donc «un rôle d’assistance et sera à la disposition des dicastères qui voudront recourir à son support ou à sa consultation». Il est par ailleurs précisé que la suspension du contrat n’avait pas été due à «des considérations concernant l’intégrité ou la qualité du travail ouvert», ni «à la volonté d’une ou plusieurs entités du Saint-Siège d’empêcher les réformes en cours».
En tenant compte de l’activité «appréciée» déjà accomplie par PricewaterhouseCoopers, le Saint-Siège, par un communiqué de la Salle de presse, a fait savoir qu’il avait signé «un nouvel accord qui, en cohérence avec le cadre institutionnel, prévoit une collaboration plus ample» avec cette société d’audit, et susceptible d’être adapté aux exigences du Saint-Siège.
Source Radio Vatican