Divers Osservatore

Serrano ne peut pas se plaindre de la destruction de son crucifix blasphématoire

Commentaires (4)
  1. jejomau dit :

    De toutes façons, il ne s’agit que d’une photo et non d’une “oeuvre d’art” unique… Celle-ci a déjà été détruite à la hâche en Suède en 2007 … Que déjà le Ministre de la culture se taise, et qu’on cesse de subventionner avec nos impôts ce qui est présenté comme une oeuvre d’art : c’est une escroquerie !

  2. Jean Lemaire dit :

    La collection Lambert n’a pas manqué de crier au vandalisme, comme s’il était plus grave de détruire une photo que d’outrager Dieu!
    Ceci dit, comme ces blasphémateurs ont eu le toupet de jouer aux victimes en déposant plaintes, si les auteurs de cet acte de réparation sont pris, ils pourront plaider qu’ils ont aussi fait oeuvre d’art. Dans le nihilisme de l’art contemporain, tout est possible (voir les nombreux articles de Christine Sourgins dans la revue Catholica et ses livres sur le même sujet).

  3. BRUNIER Jean-Marie dit :

    Il est scandaleux de voir que nos élites bien pensantes, nos magistrats, si prompts à punir les ceux qui osent attaquer les autres religions, sont bien silencieux, au nom de l’intolérance laïcarde, lorsque les chrétiens sont violemment maltraités. Ces persécutions sont-elles les conséquences du manque de combativité de nos prêtres, qui ne disent pas suffisamment que la France est Fille Aînée de l’Église ?
    Malheureusement cet acharnement antichrétien, fond de commerce des médias français, s’internationalise.
    Dans les pays conquis par les Musulmans, l’Islam est religion d’État, les chrétiens y sont torturés, assassinés…les médias présentent ces évènements comme des faits divers. Ainsi, les béotiens qui martèlent la saleté de Serrano deviennent intolérants !
    En fait, si cette « œuvre » avait eu une connotation autre que chrétienne, jamais la « Collection Lambert » n’aurait pu exposer !
    Il urge, maintenant, de préserver la Chrétienté.

  4. Melmiesse Gilberte dit :

    les responsables du saccage sont l’artiste et le directeur de l’exposition qui refusent d’entendre la foule et qui n’ont laisser d’autre choix aux Chrétiens de renouveler leur demande de retrait des oeuvres incriminées