Episcopats locaux

Medjugorje: Le cardinal Schönborn revient à ses premières amours

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L'Eglise communion
Commentaires (3)
  1. Ferrand Jean dit :

    Vous aussi, vous êtes contre Medjugorjié ?

    Mais laissez-le tranquille. Une commission vient d’être nommée par le pape. Attendez humblement ses conclusions. Ne les devancez pas.

    Moi je suis partisan de Medjiugorjié. Cela vous défrise-t-il?

    Bravo cardinal Schönborn

  2. Lucien GERARD dit :

    Monsieur Vini Ganimara, comment il se fait que l’Eglise a reconnu les apparitions de Kerizinen qui ont duré 57 ans et celles du Laus qui ont duré 54 ans
    avec, à chaque fois, des messages assez longs et chaque jour !

    Il s’agit encore d’une tempête dans un verre d’eau !

    Continuez MGR Shönborn

  3. Ferrand Jean dit :

    L’Eglise n’a certainement pas reconnu les apparitions de Kerizinen.
    L’autorité épiscopale les a formellement condamnées.

    La citation ci-dessous vous suffira-t-elle ?

    Dans “la Semaine religieuse de Quimper et de Léon” du 20 mai, Mgr Francis Barbu, évêque de Quimper et de Léon, fait la mise en garde suivante :

    “L’annonce dans la presse de “pèlerinages à Kérizinen” pouvant prêter à confusion, l’évêque de Quimper et de Léon juge bon de rappeler – comme il l’a fait savoir à tous ceux qui l’ont interrogé à ce sujet – qu’il a toujours fait siennes les décisions de son prédécesseur.

    – Interdisant aux prêtres, aux religieux et aux religieuses de se rendre à Kérizinen ou de conseiller à quiconque de s’y rendre,

    – Réprouvant formellement toute forme de dévotion et de culte en ce lieu.”

    Et l’Évêque cite la mise en garde de son prédécesseur du 12 octobre 1956 qui précise : “1° L’édifice qui s’y trouve (à Kérizinen, en Plouvénez-Lochrist) a été construit malgré notre défense expresse, exprimée par écrit et notifiée à l’intéressée. Aucun prêtre n’a reçu de nous pouvoir de bénir cet édifice…”

    “La démission d’un évêque, ajoute Mgr Barbu, ne rend pas caduques les ordonnances qu’il a prises pour le bien de son diocèse. Le nouvel évêque fait siennes les ordonnances de son prédécesseur et demande qu’on s’y tienne.”