Episcopats locaux

Quelques “splendeurs” du moderne art religieux

Commentaires (4)
  1. senex dit :

    Il y a aussi le blasphème artistique par omission,par la célébration vertigineuse du néant..La machine à decerveler n”arrête pas de tourner, comme disait Père Ubu;Leurs boites craniennes sont de plus en plus vides et sonnent le glas.Les plus lucifériens ne sont pas où l’on pense.Parce Domine;Préparez vos catacombes.

  2. Erasmus Minor dit :

    Le pire ici n’est pas ce missel et ses illustrations mais de lire de pareilles choses ! Mais n’avez-vous jamais de repos dans votre zèle à haïr ? C’est une maladie. Et citer, pour terminer, Pie X dont le manque de jugeote est exemplaire ne fait rien pour améliorer les choses.

    1. danina dit :

      Pourquoi traiter ainsi Saint Pie X ? Parce qu’il avait vu bien avant son temps la décadence qui s’en suivrait avec le modernisme ? Cela vous gêne tellement d’admettre qu’il avait raison que vous vous moquez de lui ? Il suffit de regarder autour de vous : l’état du monde actuel est dans une misère telle que les petits esprits qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez ne savent pas qu’ils ont le cerveau vide… C’est ce que craignait saint Pie X !

  3. Abbé Herman dit :

    Le Cardinal Tettamanzi n’a été que le “chapeau” de ce nouveau rite ambrosien. Le véritable artisan s’appelle Mgr Luigi Manganini, vicaire épiscopal de l’archidocèse qui, malgré sa récente retraite, est resté le délégué pour la liturgie. C’est lui qui, il y a un an presque jour pour jour, a voulu interdire la célébration pour un groupe particulier d’une messe de Saint-Pie V à Seregno, à l’occasion d’une conférence (j’ai du la célébrer “portes fermées”). Il y a, entre Tettamanzi et Manganini, la même adéquation qu’atrefois entre Paul VI et Bugnini.