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Le pape François réagit à la tragédie de Cayenne

Commentaires (4)
  1. DANIS dit :

    la moindre des choses de la part du pape . j’ai par ailleurs toujours été “contre” ces rencontres JMJ on traverse le globe pour voir un pape qu’on peut aller voir à Rome( européens)les paroissiens se saignent pour payer le voyage aux étudiants fauchés, et avec JEAN PAUL II c’était le cirque. mes garçons y étaient à Paris, ils sont revenus écoeurés par l’imbecillité des participants: hurlements empêchant le pape de dire un seul mot: des p’tits c*ns!!!

    1. blandine dit :

      A Danis…
      oui, c’est vrai, les JMJ sont un budget mais personne n’est obligé d’aller à l’autre bout du monde… De France, je suis allée à Czestochowa 91, Paris 97 et Rome 2000.
      Ces trois pélerinages ont été fondateurs de ma vie.
      Joie d’être chrétienne avec d’autres, rencontre du Seigneur, intériorité, 91-97-2000, c’est pas si mal ?!
      Et les grands rassemblements n’excluent pas le recueillement… cf Longchamp 1997.

  2. DJ dit :

    il y en a qui sont toujours ” contre” . ça on le sait
    c’est ainsi qu’on est assuré de rester sur place le nez contre le mur ,de juger les autres et même de les re baptiser du nom à 3 lettres …
    cette critique du message du pape François ,celle du pape J Paul 2, celle des JMJ en général ,mais quel rapport avec le message de sympathie et de prière du pape François ?
    Merci à François pour cette bénédiction .

  3. Yves dit :

    @Danis: Vous êtes contre? Pour en en avoir vécu plusieurs éditions, je peux témoigner que c’est pourtant de bien beaux rendez-vous, et qui m’ont réellement permis de grandir dans la foi et de découvrir plus intimement le caractère universel de l’Église. Et croyez moi, les jeunes qui se sont mobilisés ces derniers mois sont pour beaucoup, issus des générations JMJ.

    A Madrid, à Sydney, à Cologne, à Toronto, à Rome… ils ont rencontré des jeunes du monde entier qui leur ont fait partager la joie de croire, parfois absente de nos pays de vieille chrétienté (ou de nouvelle évangélisation).

    Alors bien sur quand vous réunissez un ou deux millions de jeunes pour une grand messe en plein air après une nuit quasi blanche, on ne peut pas attendre ni le même tenue ni le même silence que lors d’une messe paroissiale devant 40 personnes.

    Mais qui a assisté à l’une des dernières éditions JMJ ne peut pas ne pas être émerveillé par le silence et le recueillement de la foule pendant le temps d’adoration.

    Et vie l’Église au grand air, l’Église qui prend le risque de la jeunesse, de l’enthousiasme et de la fête!